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« Amérique Latine : Coups d’Etat modernes et autres tentatives de déstabilisation » par Maurice LEMOINE - Note de présentation & lecture de Jean-Luc Pujo – Mai 2015

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[Note de présentation du livre de Maurice LEMOINE par Jean-Luc Pujo lors du café hyper-républicain du Samedi 23 MAI 2015 - Café N°37 – « Amérique Latine : Coups d’Etat modernes et autres tentatives de déstabilisation » à Paris Bastille]

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Cher Maurice LEMOINE,

Merci d’avoir accepté notre invitation pour nous présenter ce livre et répondre à nos questions nombreuses sur un sujet complexe mais passionnant.

I – Présentation de Maurice LEMOINE

Maurice Lemoine, vous êtes journaliste, ancien rédacteur en chef du Monde diplomatique.

Mais aussi, ancien rédacteur en chef de La Chronique d'Amnesty International et vous avez même animé des émissions de radio notamment sur France Culture.

Spécialiste de l’Amérique latine, particulièrement attaché au Venezuela, vous avez écrit de nombreux essais sur ce sujet notamment :

Leurs ancêtres les gaulois... Le mal antillais (1979); Sucre amer (1980); Antilles, espoirs et déchirements de l'âme créole (1989) avec Daniel Bastien; Les cent portes de l'Amérique Latine (1989) ; Cuba, 30 ans de Révolution (1989); Amers Indiens (1993); La Dette (roman de la paysannerie du nordeste brésilien) (2001); Amérique centrale - Les naufragés d'Esquipulas (2002); Chavez presidente! Flammarion, 2005; Cinq Cubains à Miami - Le roman de la guerre secrète entre Cuba et les États-Unis, Don Quichotte éditions, (2010)

Et ce mois d’avril 2015, vous venez de publier un livre évènement :

"Les enfants cachés du général Pinochet, précis de coups d'Etat et autres tentatives de déstabilisation" (éditions Don Quichotte).

C’est l’objet de notre débat de ce jour.

II – Présentation du Livre     

Cet ouvrage est un évènement.

Essai, récit, il emprunte souvent à la tonalité romanesque ou au ton pamphlétaire, ce qui rend cet ouvrage - de près de 700 pages  - non seulement plaisant à lire, instructif, mais aussi passionnant.

Passionnant, car vous amenez vos lecteurs – avec un facilité déconcertante - dans les coulisses des palais présidentiels où se déroulent les coups d’Etat, dans les rues de Caracas, de Quito, d’Asunción ou de Port au Prince… pour vivre en « direct-live » - comme disent nos malheureux journaleux - les évènements qui ont marqués la vie politique sud-américaine des 15 dernières années.

Ce parcours, vous nous l’offrez dans un but précis : il ne s’agit pas simplement de décrire, de rapporter une réalité sociale, économique et politique.

Vous ambitionnez de nous instruire sur les méthodes de déstabilisation des différents régimes sud-américains dans un seul but : une mise en garde.

Vous auriez pu d’ailleurs nous offrir un plaidoyer larmoyant sur cette Amérique là, celle que nous avons tant aimé dans les années « 60 » et « 70 », celle avec laquelle les opinions européennes et notamment françaises ont été en phase, sensible à la souffrance des Chiliens sous Pinochet, des Brésiliens sous Humberto de Alencar Castelo Branco etc.

Non !

Vous avez choisi un autre parti : « Prenez-garde » ! Nous dites-vous.

Nous allons voir quelle est cette mise en garde.

***

En une première partie, « Du passé faisons table rase » vous nous dressez un portrait général de la situation dans les années « 60 » au Chili, au Guatemala, au Paraguay,

Et vous nous expliquez – en déclinaison de la doctrine de Monroe – les bases nouvelles de la politique américaine (p.30) : la doctrine du président Harry Truman, énoncée dès le 12 mars 1947 – devant le Congrès : « la sécurité des Etats-Unis est en jeu en tout lieu où le communisme menace de s’imposer ».

Vous rappelez la naissance du conseil de sécurité national :

« Le conseil de sécurité national (NSC) est créé le 26 juillet 1947, sorte de super-cabinet qui réunit autour du Président les secrétaires au département d’Etat et celui de la Défense ainsi que les chef des trois composantes de l’armée des Etats-Unis.

La CIA voit le jour quelques semaines après - le 18 septembre 1947 - et prend ses quartiers par très loin de Washington, à Langley, en Virginie. Par l’entremise du NSC, elle dépend directement du Président. »

Il faut de la doctrine ? De la stratégie ? Qu’à cela ne tienne.

« Pour mettre en œuvre la stratégie du Containement (barrière), le National War College et l’Industrial College of the armed Forces, tous deux encasernés à Washington élaborent la doctrine de sécurité nationale ».

Vous poursuivez :

« Généreux en diable, ils la partagent avec les Etats-Majors de pays amis : l’Escola supérior de Guerra au Brésil ; l’Academia supérior de Seguridad Nacional au Chili ».

« Les américains tissent – ainsi - sur le continent une véritable toile d’araignée. »

« Assassinat de dirigeants étrangers, coups d’Etat, trafic d’armes et de drogues, la CIA ne cesse d’enfreindre la loi. Là ou le Pentagone et le département d’Etat ne peuvent prendre le risque de couvrir de telles missions ». Expliquez-vous.

Et vous nous rappelez que « la CIA conclu – en 1954 - avec le ministère de la Justice, un accord visant à interdire toutes poursuites à l’encontre d’agents qui auraient commis des crimes et pourraient faire des révélations confidentielles lors d’une éventuelle audience » (complicité qui durera jusqu’en 1975 … et même au-delà précisez-vous)

On devine ce qui va se passer et vous nous le rappelez : Une lutte âpre et terrible va agiter l’Amérique latine.

Vous nous faite alors voyager à travers l’Amérique latine sur beaucoup de théâtres politiques : Cuba, Equateur, Brésil, Bolivie, Perou…

Et cette incidente, en prévention :

« Hormis le dénouement hyperviolent du « golpe » ici décrit et sa composante militaire, qui appartient indiscutablement au XXème  siècle, ce qui va suivre doit être soigneusement conservé en mémoire. On retrouvera un décalque presque parfait au XXIème siècle lorsque nous aborderons les crises de 2002 et 2014-2015 au Venezuela » p. 78

Nous voilà avertis de vos intentions.

Bien sûr, rien n’est simple du coté des Etats-Unis. Vous écrivez :

« On admettra que les Etats-Unis ont à plusieurs reprises déconseillé, tenté d’empêcher ou fortement désapprouvé des coups d’Etat. On constatera également que, au sein même de son administration, jeux subtils et souvent complexes, les contradictions ne manquent pas.

Ainsi, alors que les gouvernements Johnson, Nixon et Ford ne tarissaient pas d’éloge sur le bon élève brésilien, la direction « Amériques » du ministère des Affaires étrangères proposait, elle, des restrictions à l’aide économique et militaire.

Ce sont le Pentagone et la CIA qui, contre l’avis du même département d’Etat, ont préparé la fin de l’expérience du gouvernement civil, sanctionné en 1964, en Bolivie, par le putsch du général René Barrientos – l’homme qui a eu la peau de Che Guevara. On pourrait en ce sens multiplier les exemples ». p.137

Et le rôle de l’Eglise catholique ?

Vous rappelez justement le rôle de la hiérarchie catholique, très largement en soutien à un ordre social et politique qui violait les droits des déshérités.

« Néanmoins, pour éviter les malentendus – écrivez-vous – et une accusation de « bouffes curés » qui – comme l’ « anti-américanisme primaire » constitue un péché mortel, tout le monde le sait, on évoquera d’emblée (sans remonter à l’admirable Bartolomé de Las Casas) la haute figure de Don Helder CAMARA - le célèbre évêque brésilien -  : « Quand je donne à manger à un pauvre, on dit que je suis un saint ; quand je demande pourquoi ils sont pauvres, on me traite de communiste » p.143.

Vous rappelez également les figures admirables de prêtres et de quelques évêques ayant payés de leur vie leurs positions progressistes actives.

« Quelques prêtres sont morts dans les salles de tortures : une majorité a évité de prendre parti, célébrant des messes et des mariages, baptisant les bambins, chantant Alléluia ; d’autres, en « mission pastorales » au nom de la civilisation chrétienne, ont assisté spirituellement ceux qui suppliciaient ou précipitaient les détenus dans l’Océan. Cinq évêques  seulement sur 85 ont eu le courage de s’opposer à la dictature et de la critiquer.

Mgr Enrique Angelelli, évêque de la Rioja, assassiné dans un attentat camouflé en accident de voiture ; Mgr Carlos Ponce de Léon, évêque de San Nicolas, tué dans un accident semblable alors qu’il se rendait à Buenos Aires porter à la nonciature des documents sur la répression ; Mgr Miguel Estaban Hesayne, évêque de Viedma ; Mgr Jaime Nevares, évêque de Neuquen ; Mgr Jorge Novak, évêque de Quilmes »

Vous nous rappelez alors les positions lamentables du Vatican – celle de Jean-Paul II puis de Benoit XVI.

Suite à ces pages, un regret et une espérance.

Pourquoi ne dites-vous pas un mot de l’immense vague portée par la « théologie de la Libération » ?

Mais une espérance : Comment – dans un tel contexte - ne pas recevoir l’élection d’un pape sud-américain, – le pape François  - comme une bonne nouvelle ?

Vous nous direz votre sentiment.

***

Dans une seconde partie intitulée : « TYRANSITION démocratique » vous abordez les années « 80 » et « 90 ».

Et vous amenez de nouveau vos lecteurs sur les routes du Brésil, de l’Argentine, etc.

Pour un constat sans appel :

«  De 1970 à 1987, le nombre de familles vivant dans la pauvreté a augmenté de 124,1% » p.180

« Parlons brièvement gros sous – écrivez-vous. La dette extérieure de l’Amérique latine se montait à 42 Milliard de dollars en 1972. Trois années plus tard, elle atteignait 75,3 milliards. Estimée à 204 milliards en 1980, elle s’envolait à 443 milliards en 1990 et devait atteindre 749 milliards en 1999, nécessitant plus de 123 milliards de dollars pour le paiement annuel de son service. » p.180.

« En pantalon de costard, la cravate légèrement desserrée, les experts états-uniens ont affiné leur idéologie autour de quelques mots clefs et élaboré leur nouvelle Bible : le « consensus de Washington ». Cul et chemise, le FMI, la Banque Mondiale et les instances financières entreprennent de recoloniser l’Amérique latine par la voie d’une mise sous tutelle de fait » p.181

Et ce jugement sans concession que vous rappelez – celui de John Kenneth GALBRAITH, prix Nobel d’économie – conférence du 21 novembre 1986 à Sao Paulo :

« En encourageant des projets insensés, des gouvernements insensés ont réussi à se faire accorder des crédits insensés par des banquiers tout aussi insensés. Ce festival d’absurdités ne fait pas du tout honneur au système capitaliste et constitue une offense au régime démocratique ; il a ruiné des dizaines de pays du tiers monde dans le cadre d’un processus encore jamais vu d’appauvrissement des pauvres à partir de l’enrichissement des riches ». p.192

Alors ? Aujourd’hui ?

C’est votre troisième partie : « LES TEMPS MODERNES »

D’emblée vous consacrez une centaine de pages au Venezuela de Chavez.

Ces pages sont extrêmement importantes pour le lecteur.

Non seulement, nous pénétrons les arcanes d’une complexité politique, économique et sociale vénézuélienne, grâce à votre connaissance pointue de ce pays mais nous comprenons aussi votre attachement très particulier à la personnalité du Président Chavez – qui a tant marqué ceux qui l’ont approché – et dont le destin – il faut le reconnaître – nous bouleverse tous.

Le Venezuela pierre angulaire de la Résistance sud américaine.

Grâce à vous, nous comprenons l’immense écheveau, tressé avec une grande intelligence – par ce leader exceptionnel.

Nous comprenons combien, il avait réussi à mettre en  place une coopération complexe entre les peuples sud-américains, capable de  mettre en échec les outils de déstabilisation nord American parmi les plus élaborés.

Ces pages sont admirables et touchantes.

Mais votre objectif n’est pas que là.

« En entamant ce récit, - écrivez-vous - nous avions dans l’Idée de mettre au jour les différences entre coups d’Etat d’hier et d’aujourd’hui. Il en existe. Mais il existe aussi mille ressemblances, mille paternités, mille filiations…

L’affrontement entre groupes privés contrôlant l’information et gouvernements réformateurs, de même que les tentatives de ceux-ci pour « réguler » ces vecteurs de propagande, de dénigrement systématique et de déstabilisation n’est pas né avec l’arrivée au pouvoir des Hugo Chavez au Venezuela, Evo Morales en Bolivie, Rafeal Correa en Equateur ou Cristina Kirchner en Argentine, au début du XXIème siècle. Dans un autre registre, lorsque le 30 septembre 2010, à Quito, le président Correa subira une tentative de GOLPE menée par l’intermédiaire d’un mouvement policier, il n’affrontera pas un phénomène nouveau… Velasco Alvardeo l’a connu avant lui ». p.316

Mais aujourd’hui ?

Quels sont aujourd’hui les enjeux en Amérique du Sud, 25 ans après la chute de l’URSS ?

La prédation. Bien sûr. Et vous nous donnez de multiples exemples des richesses sud-américaines.

« Les Etats-Unis lorgnent depuis longtemps sur l’Aquifère Guarani, l’une des plus importantes nappes d’eau existante sous terre (surface équivalente à celle de l’Espagne, de la France et du Portugal réuni) » p.576 ;

Et sans parler de l’AGRO-BUSINESS : Les ravages de la culture du Soja dont vous expliquez les conséquences en termes de déforestation comme de confiscations scandaleuses des terres pour les paysans. P. 577

Les Etats-Unis d’OBAMA ont-ils changé ?

« Obama or not OBAMA ? Là n’est pas la question – dites-vous. On peut occuper le bureau ovale et ne pas contrôler totalement les dépendances, encore moins les écuries ou les divers services, l’appareil militaire et les lobbies mènent chacun la politique qui lui convient. Dépourvu d’expérience stratégique ou militaire, Obama se repose sur des responsables chevronnés : Léon Panetta, ex-chef de cabinet dans l’administration Clinton ; auquel il a confié la direction de la CIA, et le dernier secrétaire à la Défense de … Bush, Robert Gates, qu’il a reconduit dans ses fonctions. Un grand écart qui laisse la porte ouverte à tout et à n’importe quoi. » p.467

Alors, rien n’a changé ?

Si la domination reste la même, la méthode a cependant changé ! écrivez-vous.

« Si, il  y a quarante ans, le claquement des fusils et le grondement des chars étaient indispensables pour imposer l’hégémonie du modèle économique, il suffit aujourd’hui de contrôler un quarteron de multinationales de la communication pour tenir l’opinion. Le potentiel offensif de cet arsenal laisse pantois : Andiarios regroupe 53 publications en Colombie ; le groupe Diarios de America est composé de 11 journaux du continent et Periodicos asociados Latinoamericanos rassemble sous sa bannière 18 groupes éditoriaux de 11 pays de la région ».

Alors ? Domination définitive ?

Et vous concluez en direction du lecteur européen :

« Triste tropique… Mais pourquoi notre vieille Europe devrait-elle se sentir concernée par ces sombres histoires de GOLPES, déstabilisations et autres pronunciamientos ?

Ici – en Europe -  « la vraie droite y alterne avec la Gauche molle dans un tranquille et monotone mouvement de balancier »

Et cette question folle … révélatrice de notre impensé politique actuel :

« A-t-on le droit d’entreprendre « tout ce que l’on veut » - c'est-à-dire d’appliquer son programme – quand on a été élu ?

Refusant de considérer l’élection comme un phénomène sociopolitique inopérant quant à ses possibilités de transformation sociale, un certain nombre de chefs d’Etats latinos ont répondu « oui ».

Ils dérangent, incontestablement. A droite, on ne s’en étonnera pas. De l’autre côté du spectre politique aussi. C’est plus navrant. »

Et ce constat dramatique que nous partageons :

« Le gros des forces de gauche européennes converties au libéralisme, aiguillonnées par les médias eux-mêmes acquis à ce nouveau culte, a pris l’habitude de gommer toute référence au Socialisme ».

Et votre colère :

« François HOLLANDE expédie un obscur sous-ministre aux obsèques de Chavez, mais se déplace personnellement pour présenter ses condoléances après le décès du Roi Abdallah dans une Arabie saoudite qui finance des groupes djihadistes… »

Et vous poursuivez :

PODEMOS, SYRIZA… contestent démocratiquement l’austérité imposée par l’UE.

Mais « Le ban et l’arrière ban du conservatisme et social-libéralisme se montrent de plus en plus nerveux ! »

Aussi, votre question très importante – qui sous-tend – nous le comprenons - l’ensemble de votre démarche :

« Que se passera-t-il le jour où des gouvernements démocratiquement élus, considérant dévastateurs les effets de ce modèle présenté comme universel, de ce capitalisme sans foi ni loi, remettront en cause les dogmes économiques du moment ? »

« Que l’Amérique latine nous aide à réfléchir ! Pour le meilleur – les politiques de rupture. Et pour le pire – les coups d’Etat « light » et les déstabilisations. Car un citoyen averti en vaut deux. »

*

Cher Maurice LEMOINE, un très grand MERCI pour ce livre évènement.

*

Nous aurions pu ici encore développer tant les sujets traités sont passionnants :

- La situation à Haïti et le rôle critiquable de la France (De Villepin ou Régis Debray p.382 et p.379) ;

- La figure puante de ROBERT MENARD de RSF (p.634) ;

- La liste méthodologique des honteuses « actions Non violentes » de Gene Sharp (p. 687)

- L’attitude insultante de l’Espagne, d’Aznar ou du Pauvre Roi Juan Carlos p.620 ;

- L’implication du capitalisme français en Amérique du Sud (Suez p.396 ou Total p.410)

- L’attitude lamentable du Parti Socialiste français ;

- La liste des 10 familles dominant le Honduras (oligarchie et coup d’Etat p.489)

Toutes choses que nous aborderons au cours de notre débat.

Cher Maurice LEMOINE, un très grand MERCI

Je vous cède la parole.

Jean-Luc PUJO

*

Liens avec le café du 23 mai 2015:

http://www.politique-actu.com/actualite/samedi-2015-cafe-amerique-latine-coups-etat-modernes-autres-tentatives-destabilisation-invite-exceptionnel-maurice-lemoine/1301425/

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