Tribunes de Philosophes

LE DEFI INTELLECTUEL DU XXI ème SIÈCLE – 3ème Partie : « La meule du sacrifice » par le philosophe Manuel de Diéguez

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 12 - Le XXIè siècle et l'avenir de la pensée 
 13 - La magistrature cérébrale de " Dieu "
 14 - L'inconscient de la raison scientifique classique
 15 - Les Incas de la démocratie 
 16 - Le réacteur nucléaire des sacrifices

 17 - Le meurtre démocratique 
 18 - Les hosties de l'intelligence

 ***

12 - Le XXIè siècle et l'avenir de la pensée

Il nous reste à nous demander comment nous avons été préparés à diagnostiquer l'agonie cérébrale de la civilisation européenne et à fournir au mourant l'élixir de sa résurrection intellectuelle. En vérité, nous nous étions faussement imaginé que nous connaissions fort bien les circonstances politiques particulières et le degré d'avancement de nos sciences de la nature, lesquelles allaient inévitablement permettre à notre humanisme exténué par sa scission multimillénaire entre le temporel et le sacré de trouver son second souffle cinq siècles seulement après un premier avortement de notre esprit critique. La Renaissance n'avait-elle pas conduit l'Europe aux découvertes dramatiques qui, à partir du milieu du XIXème siècle, ont bouleversé les fondements mythologiques de nos sciences humaines et commencé de mettre en évidence les origines zoologiques du simianthrope ? Ne soyons pas des ingrats : sans une première et timide évasion du jardin d'Eden de la connaissance dans lequel l'humanisme dévot du XVIe siècle campait encore, notre XXIe siècle n'aurait pu insuffler à la raison mondiale l'ambition iconoclaste de percer les secrets anthropologiques des piétés ensanglantées dont la naïveté de nos ancêtres ignorait les parfums et de conquérir un regard sacrilège sur le tragique d'une espèce apeurée, frémissante et chasseresse sous le masque meurtrier de ses prières.

Mais elle était demeurée biblique, notre impuissance à arpenter le royaume de l'inconscient sauvage des Incas d'outre-Atlantique de la démocratie . Pour assurer une conquête de notre lucidité aussi révélatrice de l'animalité secrète qui inspire notre mythe de la liberté , il nous fallait apprendre à porter un regard de l'extérieur sur les sacrifices des premiers hommes, puis démonter le moteur des meurtres sacrés des Aztèques et des Mayas, puis fabriquer le premier réacteur de l'intelligence critique afin d'apprendre à remplacer les immolations barbares de nos ancêtres par des victimes appropriées, afin d'assurer la marche de notre histoire à l'uranium enrichi de notre raison nouvelle. Seule une anthropologie transcendantale pouvait nous procurer un tel carburant.

13 - La magistrature cérébrale de " Dieu "

La première étape d'un bouleversement aussi considérable des fondements de nos sciences humaines d'autrefois exigeait que nous découvrions les encensoirs cachés que nos problématiques anciennes étaient devenues à notre insu et dont la malodorance flattait les narines de nos idoles. Lesquelles? Celles dont s'alimentait encore notre logique même de la nature, que nous avions effrontément grisée des parfums d'encens d'une prétendue " légalité " des coutumes du cosmos. Comment la matière serait-elle législatrice ? Le juridisme épistémologique dont s'étourdissait notre science classique avait armé notre pensée théorique d'une légitimité aussi illusoire qu'inconsciemment théologique, parce que nos législateurs de l'univers laissaient en place dans le cosmos une idole réputée l'avoir créé à l'école de nos hommes de loi ; comment se faisait-il que le créateur fît instamment appel à Ptolémée, à Copernic, à Galilée , à Newton, afin d'apprendre de leur science les règles et les principes chargés de piloter sa propre magistrature cérébrale ?

Et pourtant ce premier gri-gri de la physique mathématique des Anciens, nous avions réussi à l'exorciser depuis plus d'un siècle, puisque le vieil Euclide avait perdu ses sorciers pour s'être mis à l'écoute des mathématiques d'un univers à quatre dimensions, ce qui rendait non seulement inexactes les trois premières, mais incompréhensibles toutes les quatre, puisqu'elles réfutaient à l'unanimité les lumières de feu notre sens commun cartésien. Si nous entendions maintenant entrer dans la véritable postérité de Darwin, il nous fallait remonter aux sources psychobiologiques du mythe selon lequel, d'un côté, notre raison scientifique ordinaire répondait docilement aux ordres d'une nature capable, de son côté, d'incarner sa propre parole, celle dont un trio ou un quartette céleste énonçait les verdicts et dont notre raison théorique était censée non seulement dresser la liste, mais reproduire fidèlement le tableau de bord. Il nous fallait donc imaginer une spéléologie capable de scanner les encéphales pilotés par l'axiome rudimentaire selon lequel les comportements constants de la matière obéiraient aux décisions souveraines d'une légalité céleste ou terrestre dûment vérifiable , alors qu'on ne vérifie jamais des signifiants, mais seulement des faits.

14 - L'inconscient de la raison scientifique classique

Alors nous nous sommes demandé si nos vérifications en laboratoire des preuves que nous apportait notre ciel à quatre voix nous démontraient seulement les comportements de la matière ou également les verdicts que nos boîtes osseuses ordonnaient à la nature de faire entendre à nos oreilles. Mais pour l'apprendre, il nous fallait faire progresser notre connaissance de notre inconscient jusqu'à nous permettre d'observer comment l'appareil auditif de nos prêtres des routines du cosmos construit astucieusement l'intelligibilité profitable qu'elle attribue à l' expérience scientifique.

Car leur sacerdoce les mettait d'avance aux aguets d'une prétendue " parole du sens " que la constance des coutumes du cosmos était censée leur adresser. Mais si le disque sur lequel ils avaient enregistré leurs calculs juridifiait d'avance le constant, il fallait citer Kant à la barre de l'histoire universelle et lui demander si les a priori sur lesquels il avait construit la raison finaliste euclidienne ne nous renverraient pas à la meule du sacrifice de l'autel qui sert de moteur meurtrier à l'histoire du monde. Car enfin, la bête immolée sur le propitiatoire de la logique euclidienne présentait le grand avantage de tuer le mutisme de la matière à l'école de ses paiements à la "raison".

Elle avait donc des entrailles, la matière, et ses entrailles nous étaient si bêtement favorables qu'elles nous annonçaient une bonne nouvelle : l'inintelligibilité inhérente à la matière, disait-elle, rendait l'âme sous la meule de ses propres ritournelles. Mais alors nos mathématiques nous mettaient sur les yeux le bandeau qui donnait à notre faux savoir l'autorité suprême de rendre parlant un univers seulement dromomane. Quel juge de la vérité et quel tribunal du " sens " que ceux d'une vérité prononcée par nos récoltes! Souverains, nous l'étions, mais à quel prix si toute notre science du mouvement nous renvoyait à l'inconscient d'une sottise qui rendait parlante les courses aveugle de l'inerte !

15 - Les Incas de la démocratie

L'anthropologie transcendantale qui nous attendait s'appliquait à découvrir les causes psychobiologiques de la ruine du rêve marxiste dont notre théologie des redites de la nature nous avait fait oublier qu'il avait secrètement pris la relève de l'évangélisme inné de notre raison finaliste et qu'il avait reçu mission d'assurer le relais du songe messianique qui, dans l'Ancien Testament, nous promettait le prochain débarquement du royaume d'un ciel rédempteur sur la terre. Mais les funérailles précipitées d'un mythe politique aussi antique nous ont démontré que nous oscillons entre notre mise en cage dans le zoo de nos idéalités vertueuses et la jungle qui déchaîne nos fauves. Une fois de plus, la bête rituellement égorgée sur nos autels nous donnait rendez-vous : elle nous demandait de tuer notre intelligence. Mais comment fonder notre raison politique sur des révélations aussi terrifiantes que la découverte des entrailles fumantes de la démocratie sur les autels des Incas de la " Liberté " ?

Par bonheur, nous avons été secourus, si je puis dire, par l'empire sanglant du Nouveau Monde, qui a fondé sa domination doctrinale sur les glaives les plus effilés, ceux que maniait maintenant une démocratie du salut apprise à l'école des victimes que son acier immolait sur les autels de sa justice ! Quel secours providentiel, si je puis dire, qu'un astéroïde des sacrifices appelé à entrer dans l'Eden de la Liberté sous des bombardements catéchisés, quel secours providentiel, si je puis dire, que le retour du Jahvé de l'Ancien Testament dont Israël armait le bras aux côtés d'un empereur de l'or noir ; quel secours, providentiel, si je puis dire, que le spectacle d'un vote populaire mis dans les fers et châtié à Gaza et en Cisjordanie ; quel secours providentiel, si je puis dire, qu'une histoire appelée à exposer aux yeux du monde la pierre philosophale de pacotille d'un Occident ensauvagé par ses idéaux , quel secours providentiel, si je puis dire, pour les accoucheurs de la raison de demain, qu'une Europe vassalisée sur les offertoires de sa propre servitude, quel secours providentiel , si je puis dire, qu'une civilisation des " droits de l'homme ", placée sous le joug de la bourse de New-York, quel secours providentiel, si je puis dire, que l'infaillibilité de circonstance d'une démocratie achetée sur le marché international des esclaves ! Grâces soient rendues au débarquement de nos sciences de l'inconscient dans la connaissance anthropologique de la politique des démocraties immolatrices . Désormais, nous voyons que la victime assassinée sur l'autel n'est autre que l'idée de justice!

La France du 14 juillet 2007 et l'Europe des esclaves, 1, 14 juillet 2007
La France du 14 juillet 2007 et l'Europe des esclaves,2, 
15 juillet 2007

16 - Le réacteur nucléaire des sacrifices

On sait qu'à la suite du réarmement de l'encéphale cartésien de la France - celle que le Général de Gaulle a libérée en 1967 de l'occupation de son territoire par de gigantesques bases américaines - on savait, dis-je, que l'anthropologie critique du XXIe siècle a permis à la nation de 1789 de donner ses fondements à la première connaissance simianthropologique du troisième millénaire - celle qui rendra compte de l'inconscient politique de l'Europe de confection dont l'autel illustrait la sainte alliance des valets de l'OTAN.

Sitôt que notre réacteur nucléaire du sacrifice a pu remplacer la bête tuée par nos prêtres d'autrefois sur les autels de nos ancêtres par des victimes de type socratique, nous avons vu nos offertoires produire des fruits isaïaques ; et nous avons pu commencer de classer les Etats de l'Europe en trois catégories, celle des laquais, celle des vassaux et celle des esclaves. On aurait tort de croire qu'une répartition réfléchie des habitants diversement revêtus du vaste empire de la servitude politique demeurerait longtemps sans charge nucléaire. Voici les Etats-laquais. Ils portent la livrée de leur fierté défunte. Leur domesticité emprunte encore l'apparat de leur grandeur passée. L'Espagne des Aznar, le Portugal des Barroso, l'Italie des Berlusconi, l'Angleterre des Tony Blair affichaient des différences de coupe et de couleur de leur vêture ; mais tous les Etats-laquais présentent un trait commun, celui de disposer d'un territoire relativement étendu, ce lui rend leur abaissement artificiel et provisoire. Aussi la honte les attend-elle devant le tribunal de la postérité.

Les Etats-vassaux le sont-ils de naissance et viscéralement ? La Hollande en est devenue l'archétype aux côtés de la Roumanie, de la Hongrie, de la Pologne, de la Slovaquie, de la Bulgarie et de la République Tchèque. L'anthropologie transcendantale a peiné à les distinguer des Etats-esclaves, parce que l'esclave de type européen appartient à une espèce encore à décrypter . Dans quelle catégorie fallait-il ranger l'Allemagne ? Cet Etat rêve maintenant d'occuper le premier rang en Europe . Cette prétention est bien connue des historiens: la Grèce vaincue occupait la place du brillant second dans un empire romain tout entier converti aux lettres grecques . Mais l'Allemagne de Goethe et de Schiller est-elle vassale ou esclave ? La France doit-elle lui dire qu'il n'appartient pas à une nation occupée par quatre-vingt dix-huit bases militaires colossales de l'étranger de revendiquer le statut d'une vraie patrie et qu'un peuple de matamores ambitieux d'occuper la première place sous le glaive d'un maître venu d'ailleurs se trouvera relégué au rang des esclaves aux yeux de la mémoire du monde.

Mais souvenons-nous de ce que les vassaux présentent une plus large encolure que les esclaves. Il n'appartiendrait qu'à eux de secouer leur joug, puisqu'ils ont été déchus de leur statut naturel par leur propre volonté, tandis que l'esclave est né maigre d'épaules et ne peut rêver que du statut des affranchis. Mais combien d'affranchis n'ont-ils pas conquis une puissance titanesque sous l'empire romain!

17 - Le meurtre démocratique

La connaissance spéléologique des Incas de la Croix permettra non seulement de radiographier la psychophysiologie de l'idole dont l'autel est une potence, mais de fouailler les entrailles des sacrifices que les Aztèques et les Mayas se contentaient d'offrir au soleil, tandis que la civilisation des droits de l'homme immole ses victimes sur le Golgotha d'une histoire du monde racontée à l'écoute d'un mythe du salut et de la rédemption mis en mouvement par un gibet et dont le récit de la délivrance de l'humanité par l'intercession de la démocratie mondiale a pris le relais.

Il aura donc fallu passer à deux doigts du naufrage corps et biens de l'identité intellectuelle et éthique d'une civilisation européenne domestiquée en cinq décennies seulement sous le sceptre de l'Alliance atlantique pour que le XXIe siècle se mît à l'écoute d'une science anthropologique si profonde et si nouvelle qu'une résurrection inespérée de l'intelligence critique a pu redonner in extremis son élan fécondateur à l'Europe de la pensée - celle qui se penchera sur les entrailles du mythe de la liberté et qui retrouvera l'antique bête du sacrifice sur l'offertoire moderne de l' "Egalité" et de la "Fraternité". Qui est l'immolé sous le couteau des prêtres de la démocratie, sinon l'Individu ?

18 - Les hosties de l'intelligence

La première étape des retrouvailles de l'Occident avec le poisson-torpille de l'Occident qu'on appelle la philosophie sera une réflexion politique sur les relations que le temps entretient respectivement avec les sacrifices des maîtres et le sacrifice des esclaves sur les offertoires où le sang raconte son histoire. Alors l'anthropologie transcendantale enseignera au XXIe siècle à reconnaître les hosties de la ciguë et à les distinguer des hosties de la servitude . Pourquoi, se demandera-t-elle, la grande politique évite-t-elle la précipitation ? C'est que la durée protège l'histoire des caprices de l'éphémère ; et si elle fait un premier tri entre la hâte et la lenteur, c'est que le sacrifice à l'immédiat est domestiqué par la peur .

Il faut donc se demander comment la durée guide la pensée vers les cavernes du temps où la servitude se révèlera l'écume de l'histoire. Alors seulement il apparaîtra que les victimes isaïaques ou socratiques assassinées sur les offertoires des nations assurent la puissance des Etats sur le long terme, parce que la mémoire est l'alliée de la liberté, celle qui enseigne que les victimes sacrifiées sur les autels de la servitude éternisent la vassalité du monde . Il existe donc deux sortes d'immolations, celles qui nourrissent l'intelligence et celles qui fournissent leur fourrages aux esclaves.

Aussi l'essentiel, aux yeux de l'anthropologie critique, demeure-t-il de démontrer que la servitude politique, quelle que soit sa taille, obéit au maître tout ensemble le plus secret et le plus ostentatoire de l'histoire universelle, à savoir le sacrifice. Toute la difficulté, pour accéder à une véritable science de l'humain, est de plonger le poignard de la pensée à la profondeur requise pour que le spectacle des sacrifices fasse fumer les entrailles de l'histoire. Pourquoi les laquais, les vassaux et les esclaves se donnent-ils à humer aux narines du maître qu'ils adorent et qui les tuera ? Qu'est-ce que le meurtre de bonne odeur, le meurtre sacralisé, le meurtre dont le pain monte dans le four de la servilité ? Pourquoi les serfs de leur piété sont-ils des dévots odorants? La Boétie ignorait encore qu'il n'y a pas de lecture rationnelle de l'histoire olfactive du monde sans un décryptage anthropologique de l'odeur de l'esprit de soumission, qui est immémoriale et dont le sacré exprime les gestuelles ritualisées par le relais des sacerdoces; car le maître, lui, ne respire pas les parfums de l'idole d'autrui, mais seulement ceux de l'idole vassalisatrice qu'il est à lui-même et qui soumet laquais , vassaux et esclaves à sa propre truffe, comme il est explicité plus haut. (Voir IIe Partie)

L'anthropologie du sanglant qui lancera le XXIe siècle dans l'arène nouvelle de la pensée attend encore la vraie postérité du Montesquieu dont la jeunesse amusée avait trempé une plume déjà sévère dans l'encrier de la parole politique édénisée de son temps. Puis l'âge mûr avait porté le génie et le courage du baron Secondat de la Brède à la haute entreprise d'une première pesée de l'esprit et du sang des dieux et des lois. Quand le XXIe siècle aura définitivement ouvert le IIIe millénaire au tragique d'une vraie connaissance du genre humain, il apprendra à l'école du meurtre démocratique comment le simianthrope masqué sous ses prières proclamait séraphique le couteau qu'il mettait entre les mains de ses idoles.

Visiter le site officiel du philosophe manuel de Diéguez :

http://www.dieguez-philosophe.com/

[Texte initialement publié en 2007]

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