Osons le dire

"J’ACCUSE LA DYNASTIE PAPANDREOU DE TENTATIVE DE MATRICIDE SUR ELLAS, NOTRE MERE-CIVILISATION" Simone LE BARON*

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Kadhafi-Andreas Papandréou (1984)

et Georges Papandréou-Kadhafi (2011)

Dans l’Antiquité,  la tyrannie représente la période intermédiaire entre l’oligarchie et la démocratie.  Les tyrans instauraient un système de dynasties dont la plus célèbre est sans nul doute celle des Pisistratides à Athènes : le fils succède au père à sa mort et ainsi le pouvoir reste aux mains de la dynastie. Elle jouit déjà à l’époque d’une mauvaise réputation : « La tyrannie n'est [...] que la monarchie tournée à l'utilité du monarque. » Aristote, La Politique. On peut donc en conclure que l’esprit de démocratie s’est substitué en Grèce à celui de tyrannie en donnant la parole au peuple avec pour fondement quatre principes d’égalité dont le plus important selon moi, directement en opposition avec l’esprit de dynastie, l’isogonie, « isogonia » (ισογονία) de « iso », égal et de « gonia » issu de l’ancien grec  « gignomai » (γίγνομαι), naitre c’est-à-dire les bien-nés n’existent pas et par conséquent les membres de toutes les dynasties confondues. Ce qui caractérise Ellas, la principale raison pour laquelle nous l’avons baptisée « mère-civilisation» est donc cet esprit d’égalité de la démocratie et de proximité à l’origine de l’hellénisme, la polis représentant un grand village où les échanges se multiplient dans l’agora sans intermédiaires.

Georgios Stavropoulos voit le jour le 13 février 1888 en Achaïe, Grèce. Son père Andréas Stavropoulos est prêtre. Lorsqu’éclate la crise évangélique ou Evaggelika (Ευαγγελικά) entre les 5 et 8 novembre 1901 sur fond de crise politique, religieuse et linguistique, Georgios décide de changer de nom, il se fera appeler désormais Georgios Papandréou qui signifie « fils du père Andréas ». Voici donc comment prend sa source il y a 110 ans jour pour jour l’histoire de la dynastie Papandréou. L’esprit de la dynastie Papandréou est né : couardise, opportunisme, traitrise, mépris des origines.

Après des études de droit Georgios Papandréou se lance dans la politique. En 1917 Eleftherios Venizelos (1864-1936) le nomme gouverneur des îles la mer Egée, puis de 1930 à 1932 il le nomme ministre de l’Education. A partir de 1932, Papandréou trahit son bienfaiteur en fondant son propre parti. Pendant l’occupation, il quitte le navire Ellas pour devenir en Egypte le Premier ministre du gouvernement en exil représentant la monarchie grecque. Le 17 octobre 1944 il retrouve la mère-patrie où s’installe le gouvernement immédiatement controversé par la plupart des Grecs le considérant en effet comme successeur de la dictature mise en place par Metaxás (1871-1941) en 1936, ses liens très étroits avec le pouvoir britannique lui conférant en parallèle l'image d'un nouveau pouvoir fantoche dominé par l'étranger.

Pendant son « absence », un important réseau de mouvements résistants s’est mis en place regroupés sous le nom de Résistance Nationale. L’EAM (Front de Libération Nationale) est l’un d’entre eux. Georgios Papandréou n’est pas le bienvenu et ne fait pas figure de héros auprès de ces résistants qui ont affronté l’ennemi sur le terrain et ne se sont pas lâchement « planqués » à l’étranger pour revenir en conquérants une fois le pays hors de danger. Le mardi 19 décembre 1944 à la Une du premier numéro du journal Le Monde on peut lire : « LA CRISE GRECQUE, les négociations se poursuivent à Athènes entre l’EAM et le gouvernement de Georgios Papandréou. /…/ le général Scoble a promis une réorganisation générale de la police et des négociations en vue d’un gouvernement de coalition. » Cela ne s’invente pas : 110 ans plus tard  le benjamin de la dynastie George Papandréou réitère.

C’est l’étincelle qui mettra le feu aux poudres et malgré le remplacement de Papandréou par Nicolas Plastiras (1883-1953), la guerre civile éclate et fait rage jusqu’en 1949. En 1950 Georgios Papandréou fonde son propre parti auquel il donne tout simplement son nom, participe à divers gouvernements, de tendances diverses non définies « Parti libéral », « Union du Centre ». Son surnom le plus connu est celui de « papadzis », que l’on peut peut-être traduire par « béni-oui-oui » en plus péjoratif mais en référence à « papa », prêtre. Grand orateur, il vous fait prendre des vessies pour des lanternes avec la même habileté que son ancêtre Démosthène dit le démagogue. Au cours des années 1960 il sera encore deux fois Premier ministre (un mois en 1963, un an entre 1964 et 1965). Il meurt à Athènes le 1er novembre 1968, un peu plus d’un an après l’accession au pouvoir des colonels.

En 1913 il s’était marié à Sofia Mineyko, fille de Zygmunt Mineyko descendant des Comtes Komovowski, Polonais-Lithuaniens. Leur fils Andréas Papandréou naitra à Chios, Grèce, le 5 février 1919. Puis il divorce de Sofia Mineyko pour épouser en 1928 Kyveli Andrianou de Smyrne, deux fois divorcée. De cette union naitra Giorgos Papandréou qui se mariera trois fois, la première fois avec une certaine Aldrey Yearley.

Andréas Papandréou pendant ses études à l’université d’Athènes fréquente les milieux trotskystes, c’est de bon ton à l’époque. En 1939 ils sont tous arrêtés. Pour obtenir sa libération, il parle et vend ses anciens compagnons dont Cornelius Castoriadis qui ne le lui pardonnera jamais. Sa famille le fait quitter le pays pour les Etats-Unis, il devient citoyen américain en 1944. Il termine ses études d’économie et lorsque le Premier ministre grec Constantin Caramanlis (1907-1998) - membre de la dynastie Caramanlis et père de la Nea Dimokratia, parti de droite actuel opposé au PASOK, parti de gauche – lui proposa en 1961 de diriger le Centre de Recherches économiques, il accepta sans hésiter. Les dés de la partitocratie hellénique étaient jetés. Puis il fut élu député en Achaïe, ensuite nommé ministre de son père. Il affiche des idées anti-américaines pendant la guerre froide, lui qui doit tout aux Etats-Unis. Il s’agite dans tous les sens comme un épouvantail dans un champ de blé un jour de mistral, se mêle à la conspiration d’Aspida et provoque la chute du gouvernement de son père. Il est arrêté par les colonels et, pour la seconde fois, sauvé par les Etats-Unis qui obtiennent sa libération auprès des dictateurs.

Et tandis que tout là-bas sur le vieux continent Ellas retient son souffle sous la pression d’une nouvelle dictature, notre ami Andréas papillonne, insouciant, la vie est belle. Lorsque son ami Pelasis, Grec vivant aux Etats-Unis, lui dit un jour : « Pourquoi tu ne vas en Grèce renverser les colonels, avec ton nom et le passé politique de ta famille ce serait facile ». Et voici ce que lui répondit le fervent Hellène : « Moi, avec ces kangourous, tu rigoles ! ». Mais l’idée fit son chemin et le citoyen américain Andréas Papandréou se dit qu’après tout devenir kangourophile pouvait peut-être rapporter gros, si bien qu’il entreprit un racolage à tous azimuts pour récolter des fonds dans le seul et unique but d’aller « sauver ses compatriotes ». Il créa le PAK, mouvement de libération. L’argent coulait à flots, les villas se multipliaient, partout où il fallait un point de chute pour « agir », « organiser la résistance ». Une fortune colossale fut amassée. En juillet 1974 lorsque les colonels tombèrent, le PASOK remplaça le PAK mais ne gagna pas les élections qui furent emportées par Constantin Caramanlis. Mon ami philosophe Nikos Kaloy (http://simone-le-baron.blogspot.com/2011/08/kaloy-simone-le-baron-fondation-kaloy.html ), originaire de Corinthe mais vivant à Genève depuis soixante ans me confiait l’autre jour : « Quand en septembre 1974 sur le chemin du retour en Suisse par la Yougoslavie en voiture comme j’avais l’habitude de le faire tous les étés, j’ai eu l’idée de m’arrêter quelques jours dans cette région de Macédoine que je ne connaissais pas bien,  j’ai été frappé par le nombre de permanences du PASOK, il y en avait dans chaque village. » Nikos Kaloy a obtenu son doctorat de philosophie à Genève à l’âge de 50 ans (il en a 88). Avant cela, il a accompli une carrière de fonctionnaire international auprès de diverses organisations internationales à Genève. Les dessous de l’histoire, il les connaît bien…

« Tout cet argent a disparu comme par enchantement, poursuit-t-il, mais comme la prescription était de deux ans, quand on a découvert le scandale, c’était déjà trop tard ». En 1981 Andréas Papandréou remplace son non-rival Constantin Caramanlis à la tête de l’Etat hellénique grâce à un programme imparable avec comme principal leitmotiv la fin de la soumission de la Grèce aux Etats-Unis, le démantèlement des bases de l’OTAN et la sortie immédiate de la Grèce de la CEE (Traité d’adhésion ratifié par Constantin Caramanlis le 1er janvier de la même année). Nous ne ferons aucun commentaire à ce sujet, les faits parlant d’eux-mêmes.

D’après le Reader’s Digest la somme de 20 millions de dollars aurait été versée pour le financement du PASOK par Kadhafi, ami fraternel et inconditionnel d’Andréas Papandréou. Le sort de la nation hellénique a donc bel et bien été entaché par la souillure de ce tyran à l’insu de la société des citoyens grecs. En octobre 1984, Jalloud le Premier ministre de Kadhafi salue Andréas Papandréou avant son départ de Lybie où il était en visite pour quelques jours : « Frère Papandréou, nous t’avons observé, nous t’avons mis à l’épreuve et nous te faisons entière confiance. Nous sommes décidés à tout faire pour t’épauler car c’est dans notre intérêt que tu conserve le pouvoir en vue d’une étroite collaboration future. Nous sommes liés à jamais. Nous espérons que vous vous montrerez dignes de nos accords et tiendrez vos promesses ». (Dans tous les journaux du 2-10-1984).

C’est donc en toute confiance qu’Andréas Papandréou déclarait le 12 avril 1984 : « Je n’irai pas jusqu’à dire que nous sommes au paradis, mais actuellement notre pays vit une période florissante, de grande prospérité. C’est un message positif pour l’avenir, c’est-à-dire que nous sommes entrés de plain-pied dans une période croissance économique ». Le 17 avril 1985 : « L’heure de la vérité est venue. N’avions-nous pas l’impression ces quatre dernières années que ce moment allait arriver ? bien sur nous l’avions, mais nous ne pensions pas qu’il arriverait si vite. Nos prévisions étaient bien au-dessous de la réalité. Je ne demande pas votre indulgence ». En d’autres termes, la pseudo croissance était en fait une réelle déconfiture ! Je ne peux m’empêcher ici de m’écarter de ce romanesque voyage chronologique pour citer son fils George en 2009 au début de son mandat actuel : « De l’argent il y en a », le fameux « λεφτά υπάρχουν » ; et le 1er février 2010 avec le même aplomb : « De l’argent il y en a eu », « λεφτά υπήρχαν ».

Son mandat prend fin en 1989 au profit de la Nea Dimokratia, satisfaisant au jeu de ping-pong traditionnel de la partitocratie. Puis il est réélu en 1993 et place immédiatement sa maitresse, devenue sa quatrième épouse à la tête de son cabinet. En janvier 1996, malade, il démissionne. Il meurt en juin de la même année, lègue la totalité de ses biens à sa quatrième épouse et à ses enfants…son « nom de famille » !... C’est-à-dire RIEN puisque même ce nom de famille est un fictif.

En 1941, il avait épousé Christina Rasia. Elle demande le divorce en 1951. Cette même année, il épouse l’américaine Margaret Chand qui lui fera quatre enfants : Giorgos, Sophia, Nikos, Andrikos. Puis c’est le tour de suédoise Rania Nyblom dont il aura une fille, Emilia. En 1989, il épouse enfin l’hôtesse de l’air Dimitra Liani, sa maitresse attitrée, lui achète une respectabilité.  Et c’est sans hésitation qu’il lui confiera le sort de la nation hellénique à partir de 1993. Celle-ci gagnera le surnom de « première dame » ou encore de « vice-Premier ministre ». Mais lorsque le magazine Avriani étalera au grand jour les photos de Dimitra jeune, dénudée, l’opinion publique sera choquée. C’est presque banal dirais-je. En France aussi nous avons une « première dame » qui se dénudait facilement quand elle était plus jeune et vient de s’acheter une respectabilité…

George Papandréou est né en 1952 à Saint-Paul aux Etats-Unis d’Andréas Papandréou (1919-1996) et de Margaret Chand. Il commence sa scolarité au Canada où son père possède déjà une somptueuse demeure, puis aux Etats-Unis, en Suède et en Angleterre.  En 1974 il accompagne son père en Grèce et adhère au parti socialiste PASOK. En 1993, à la faveur du retour du pouvoir du PASOK il est nommé ministre adjoint aux Affaires étrangères puis ministre de l’Education en 1994. Le 18 février 1999 il succède à Pangalos au ministère des Affaires étrangères et s’empresse de mettre en œuvre une politique de rapprochement avec l’ennemi héréditaire, la Turquie. En 2004 Kostas Simitis démissionne de la présidence du PASOK et offre son poste à Papandréou.

Le 4 octobre 2009 à la suite d’élections législatives anticipées, il est élu Premier ministre. Depuis cette date les choses sont allées de Charybde en Scylla. La vérité a éclaté au grand jour : le trésor des incas grecs se planque en Europe, dans les banques suisses. 600 milliards d’euros seulement !!! Tous les politiques de la partitocratie ainsi que quelques riches familles se partagent le trésor. Et quand on a découvert que le montant de la dette grecque avait été falsifié, les comptes de l’Etat truqués, c’est la « crise grecque » qui a éclaté comme un ballon de baudruche. Il n’y a plus rien, les caisses sont vides. Qu’à cela ne tienne « vous allez payer salauds de citoyens », c’est votre pays mais ce n’est surtout pas le mien ! Voici à peu près à quoi se résume aujourd’hui la situation.

La crise nous le savons est mondiale. Le « problème grec » par contre est unique. George Papandréou est né en 1952, moi aussi. Il est arrivé en Grèce en 1974, moi aussi, je l’ai précédé de trois semaines, c’est-à-dire juste avant la chute des colonels. Jeune Française animée déjà animée du « sentiment hellénique » j’ai été accueillie comme je ne l’aurais jamais imaginé  même en rêve. Si j’étais bien sur motivée par l’histoire antique comme de nombreux étudiants de l’époque, j’ai rapidement laissé de côté ma curiosité historique pour céder la place à ce qui ne devait plus jamais me quitter : l’amour de tout un peuple. Les Grecs m’ont tout donné : la joie de vivre, l’hospitalité, la simplicité, la sagesse et la fantaisie, la poésie l’amour de l’être humain, la convivialité. Mais avant à moi l’agnostique ils ont transmis les valeurs de la religion orthodoxe sans rien me demander en retour. L’histoire de la nation hellénique se poursuit depuis des temps si reculés que l’on pourrait dire « depuis que Dieu a créé la lune et les montagnes ».

Cet été 2011, je suis revenue pour y vivre définitivement. En plein contexte de crise où George Papandréou et ses acolytes continuent de massacrer le peuple à coups d’impôts et de taxes de toutes sortes, d’affamer les citoyens grecs, dans l’intention funeste de leur couper les vivres, j’ai été accueillie de la même façon. Ils m’ont tout donné. C’est cela ELLAS, rien que cela, éternellement cela.

George Papandréou s’est marié en 1976 avec une Chypriote vivant en Angleterre, Evanthia Zissimides. Ensemble ils ont eu un fils, Andréas en 1982. En 1987 il divorce, épouse Ada Papapanou qui lui donne une fille Margarita, en 1990. Ces mariages multiples, ce goût pour les femmes étrangères comme si les femmes grecques n’étaient pas dignes de figurer à leurs côtés à la tête de l’Etat hellénique, la corruption, les fausses valeurs : c’est là tout l’héritage de la dynastie Papandréou. Alors voici ce que je dirais à Giorgaki « Petit-George » si je l’avais en face de moi, en ce moment, 7 novembre 2011 à Athènes où il se trouve à quelques mètres de moi en train de se chercher un successeur à la tête de la partitocratie : « Arrête le massacre. Laisse-nous décider du sort de la nation hellénique nous citoyens hellènes et philhellènes. Tu as perdu. L’histoire de ta dynastie maudite s’arrête ce soir ». Et à son fils Andréas je conseillerais : « Change de nom ! Prends celui de ton arrière-grand-père, le pope Andréas Stavropoulos. Les Andréas Stavropoulos sont légion en Grèce, tu deviendras enfin un Grec comme les autres mais ce geste-là fera de toi le plus illustre des Andréas Stavropoulos de l’histoire de la nation hellénique ! »

Simone Le Baron, Athènes. Le 7 novembre 2011

A lire également :

http://simone-le-baron.blogspot.com/2010/11/lamericain-et-le-proxenete-un-passeport.html

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 (*) Simone LE BARON vit à Athènes. Militante connue à Athènes, elle dirige un blog militant grec et assure la traduction de nombreux textes politiques. Elle nous a fait l'honneur de rejoindre la Rédaction de POLITIQUE-ACTU et nous livre là son premier article en exclusivité pour notre Journal avant sa diffusion en Grèce bien sûr !

                                            

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