Débats

FRANCOPHONIE : Pour une « Francosphère » renforcée ! par M. Albert SALON

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"Une politique de la langue française et de la Francophonie"

   La francophonie est diffuse : c’est le français tel qu’il est répandu dans le monde et l’adhésion à des valeurs véhiculées par la langue et la culture françaises. Senghor parlait d’un « humanisme intégral autour de la terre ». Une « Francosphère ».

La Francophonie, organisée dans l’O.I.F. (Organisation internationale de la Francophonie), sise à Paris, est aujourd’hui une communauté volontaire de 70 Etats et gouvernements.

I) Langue française dans la « mondialisation » et la « globalization » :

      La francophonie diffuse et la Francophonie organisée affirment toutes deux dans la mondialisation (neutre en soi) une conception de l’homme et des relations internationales opposée aussi bien à la « globalization » américaine qu’aux replis identitaires. Elles sont refus de la prépondérance du matérialisme et d’un « choc des civilisations », présenté par Huntington comme inéluctable, voire souhaitable. Elles sont humanisme, respect des civilisations différentes, et dialogue des cultures. Solidarité privilégiée et exemplaire. Chance de faire vivre la diversité linguistique et culturelle. Réponse à une attente, chance pour le monde et la France (i).

Chance non encore saisie.

Malgré les excellents discours pertinents du Président de la République française du 20 mars 2008 et du 20 mars 2010.

Malgré la réussite du Sommet francophone d’octobre 2002 à Beyrouth, les Sommets suivants, y compris celui de 2008 à Québec, ayant été plus décevants.

En réalité : l’idée d’une communauté francophone dérange. Non électoralement payante, elle remet en cause une résignation dominante, et suppose que Sisyphe retrouve le courage de hisser son rocher.

Cela vaut pour le Québec et la Wallonie-Bruxelles.

La France a une attitude somnambulique. Prédisposée par son histoire et sa tradition d’universalisme humaniste, elle retrouve par moments sa voix propre. Elle est alors capable de soutenir l’enjeu du Sommet de Beyrouth, le droit international et le multilatéralisme. Son gouvernement a pu repousser, dans l’affaire irakienne, et son peuple le 29 mai 2005 lors du referendum sur la « Constitution européenne », la tentation huntingtonienne de l’assimilation-fusion dans un Occident-Empire qui n’est pas le sien. Puis, vite retombée dans un demi-sommeil, elle voit ses « élites » s’effrayer de son sursaut.

Elle laisse alors chez elle des pans entiers de son activité créatrice passer à la langue et aux modes anglo-américaines. Elle tolère que l’Union européenne, au mépris de ses propres textes, traite en anglais avec les entreprises privées et les services publics français, que l’UE exige une adaptation des législations linguistiques nationales au nom de la libre circulation des produits et de l’idéologie ultra-libérale du grand marché encore dominante malgré la grave crise de 2008-2010 venant des financiers de New York et de la City.

Elle a toléré que Bruxelles impose à des pays francophones d’Afrique un traitement en anglais de leurs problèmes de développement, et aux pays européens candidats à l’adhésion de présenter leurs dossiers en anglais.

Elle laisse s’effriter sa politique d’aide et de coopération, faite largement de solidarité privilégiée avec les pays membres de la Francophonie.

Enfin, elle laisse s’étioler son action culturelle extérieure, les magnifiques réseaux privés et publics d’instituts et centres culturels, d’établissements scolaires, universitaires, de soins et de recherche, de foyers de l’Alliance française soutenus surtout par les étrangers, de la Mission laïque, de l’Alliance israélite universelle, des missions catholiques et protestantes, qui répondent à une forte « demande de France » partout constatée…

En fait, il s’agit pour la France de se retrouver. De s’éveiller et s’ouvrir à la chance qu’elle a de redevenir, avec tous les éléments épars de la « Francosphère », un moteur au service de l’humanisme dans le monde. De concevoir et mettre en œuvre une véritable politique de la Francophonie, communauté fondée sur l’égalité de dignité.

Si la France, d’abord « fille aînée de l’Eglise » puis « mère des révolutions » est une nation fondée beaucoup moins sur une ethnie que sur une langue, une culture et un ensemble multiculturel en commun, si elle est une sorte de « République universaliste », une conception de l’homme, un message d’humanisme, une « voix dans le monde », une politique étrangère, elle ne peut être impériale ni impérialiste, ni, à l’inverse, consentir à son absorption dans quelque empire du moment. La France doit se distinguer d’un « Occident » américain et anglo-saxon qui n’est pas le sien,  qui la nie et devient pour elle, comme l’U.E., trop étroit, dépassé, et dangereux pour le monde.

Tout se tient : la souveraineté recouvrée permettra une vraie politique du français et de la Francophonie.

Et une telle politique conditionnera le plein exercice d’une souveraineté renouvelée, et d’abord de la « fierté de porter un projet d’humanité ».

Aucune des deux démarches n’est un préalable au succès de l’autre. Les deux doivent être conduites de concert. La politique française doit « marcher sur ses deux jambes ».

II) Une politique linguistique française de souveraineté 

- La France doit réinstaller sa langue dans toutes les fonctions vitales de son activité nationale d’où elle disparaît actuellement (sciences, brevets, sièges français d’entreprises mondialisées, media, publicité, voire des administrations).

- Ensuite, ses langues régionales doivent pouvoir vivre là où elles sont spontanément demandées, en cohérence avec notre campagne pour la diversité culturelle dans le monde. Avec deux garde-fous : qu’elles ne soient ni langues officielles ni véhiculaires principales de l’enseignement obligatoire.

- Le plurilinguisme commence aussi par l’enseignement des langues étrangères dans les établissements scolaires et universitaires. Il faut sortir du « tout-à-l’anglais » réducteur. Tout jeune Français scolarisé doit d’abord acquérir une solide maîtrise du français, puis apprendre dans le secondaire deux langues étrangères, en commençant, comme le recommande Claude Hagège, par une autre langue que l’anglais dans lequel on finit toujours par tomber de nos jours.

L’enjeu est autant actuel en France qu’au Québec.

Devant les empiètements de l’U.E. en faveur de l’anglais en France, il suffirait à notre gouvernement de :

- rappeler avec force que l’Europe est diversité, d’abord linguistique et culturelle, et que sa nature interdit qu’on lui impose une langue commune puis unique (exemple du Protocole de Londres de 2001 sur les brevets européens, dont la ratification est malheureusement intervenue dès l’été 2007 !) ;

- signifier à Bruxelles que ni la France ni aucun autre membre, n’a signé aucune renonciation au plurilinguisme dans les traités, et qu’elle ne tolèrera plus ses ingérences dans sa législation linguistique ;

- enjoindre à ses services publics de renvoyer à Bruxelles, comme à toutes institutions internationales où le français est  langue officielle et de travail, tous documents qui leur parviennent en anglais uniquement.

Enfin, comme nos associations et des parlementaires amis le demandaient depuis 1992, la Francophonie a enfin pu, le 21 juillet 2008, être ancrée dans notre Constitution (titre XIV, art. 87), avec une formule proche de celle que nous avions en 1995 affinée avec Maurice Schumann : « La République participe à la construction d’un espace francophone de solidarité et de coopération ». Il faut faire vivre cette affirmation obtenue après 16 ans de haute lutte.

Symbole fort de la volonté de ne pas enfermer la France dans une « Union » trop étroite, tatillonne et stérilisante.

Une éventuelle « PESC »  ne saurait entraver le développement des relations des pays membres avec le grand large, et d’abord leurs ensembles géoculturels tels l’Hispanophonie et la Francophonie, recommandés même par le Forum social mondial de 2002 à Porto Alegre ;

Il s’agit de donner à la Francophonie un « contenu de Communauté » auquel l’appartenance à l’Union ne saurait faire obstacle : des préférences en matière de circulation de personnes, biens et services culturels, de propriété intellectuelle, ainsi que des formes adaptées de citoyenneté.

L’affirmation claire de ces exigencespourrait couper l’élan des fédéralistes.

Elles restent même compatibles avec le traité de Rome.

III) Solidarité culturelle et politique à développer entre pays et communautés de langue maternelle française :

Dans l'opposition pluri-séculaire entre la rose anglaise et le lys français, entre les conceptions du monde, fondamentalement différentes, anglo-saxonne et "francophone", la phase transitoire actuelle marque partout , au Québec comme en France, un recul de notre langue.

A cet égard, nous sommes en difficulté chez nous, avec la complicité de trop de nos élites poussant la France à l'anglais et à l'entrée dans l'Empire (voire l’OTAN en 2009 !) avec le statut de belle province touristique.

Au Québec, on dit à la "Belle Province" qu'on l'aime d'autant plus volontiers qu'elle semble se résigner à demeurer province et à s’assimiler à l'anglais, par le biais d'un bilinguisme très poussé.

Dans ce qui est encore la Belgique, où les Flamands veulent constituer leur Etat (aussi viable et fort que Danemark, Slovaquie, Tchéquie, ou…le Québec!), la querelle entre les deux nations fait le jeu de l'anglais et des intérêts anglo-saxons.

En Suisse, juxtaposition de quatre beaux jardins soigneusement tenus et enclos, c'est de plus en plus en anglais que les voisins de langues différentes se parlent par dessus les haies ; et le français est érodé dans le Jura bernois.

Toute la francophonie maternelle se trouve en situation de Résistance.

Elle doit donc rassembler dans l'action toutes ses forces pour se redresser.

D'abord les forces de ses sociétés civiles, puisque les gouvernements des pays membres sont encore abouliques. Par la voix des sociétés civiles, il faut rappeler l’histoire (p.ex : celle de l’Amérique du Nord française : nettoyage ethnique au « Grand Dérangement » de 1755, politique d’assimilation des « Canadiens français », vol du referendum québécois de 1995), populariser l’idée de solidarité entre toutes les communautés de langue maternelle française.

Celles qui sont hors de France doivent être invitées à soutenir les tenants du maintien de la souveraineté de la France. Nos associations et mouvements français doivent affirmer, d’abord dans le discours, puis dans l’action, leur appui à la souveraineté linguistique, culturelle, politique, du Québec, à charge pour lui d’aider à son tour les minorités francophones du Canada anglais à maintenir leur langue et leur culture.

Nos mouvements français doivent apporter aux Wallons, et éventuellement aux Bruxellois, l’assurance qu’en cas d’éclatement de la Belgique par sécession de la Flandre, la France respecterait, encouragerait, le choix - qui incomberait à eux seuls - des relations à établir avec elle : alliance privilégiée d’Etats indépendants, confédération, ou réunion à la République avec un statut régional adapté.

IV) Une politique française de « francosphère » : 

Les façades et domaines maritimes (12 millions de km2) de la France, l’existence des DOM-TOM dans tous les grands océans et celle d’une francophonie présente sur tous les continents, rendent nécessaire que la France n’oublie pas son « grand large ».

La politique étrangère de la France doit continuer à « marcher sur les deux jambes » : Europe (ouverte !...) , et grand large et sa partie en français.

Cela suppose de retrouver les orientations invétérées de sa politique extérieure, avec ses implications internes, en révélant des vérités occultées, en conjurant des peurs, et en adoptant des principes et orientations clairs.

Une première peur : celle qui assimile la coopération en Francophonie à un gaspillage d’aide à des « rois nègres » corrompus et à leurs comparses français. Mais c’est-ce d’abord nous qui devons veiller à éviter les détournements.

Une deuxième peur : celle qui associe la Francophonie et l’ouverture de nos frontières à une immigration incontrôlée… A cela plusieurs réponses :

- Ce n’est pas la Francophonie qui renforce aujourd’hui les flux d’immigrants, mais à la fois la demande par nos entreprises de main d’œuvre à bon marché d’où qu’elle vienne, l’indulgence des autorités à l’égard des importateurs et passeurs, et l’inadaptation des contrôles « Schengen ». L’entrée de « roms » qui ne parlent pas français n’est guère liée à l’appartenance de la Roumanie à l’OIF.

- Les Sri-Lankais, Turcs, Chinois, Kurdes, Afghans…qui entrent nombreux ne viennent pas de pays adhérents à l’OIF !

- Appartiennent à la Francophonie plusieurs pays d’Europe centrale et orientale en même temps membres de l’U.E. ou candidats à l’entrée : Pologne, Lituanie, Slovénie, Bulgarie, Roumanie : l’immigration francophone est alors européenne.

- Les élites africaines sont aspirées ailleurs si nous erigeons un barrage de visas.

- La France est depuis longtemps une terre d’immigration, comme les dynamiques Brésil et… Etats-Unis : Francophonie ou non, cela continuera.

- Dans ces conditions, une politique d’immigration négociée, sans Bruxelles, mais avec nos partenaires de la Francophonie, permettrait, en fixant, sur une base de réciprocité ou de contreparties, les conditions de libre circulation et d’établissement des personnes, de définir  les catégories d’immigrants admis en fonction de leurs pays d’origine, de leurs niveaux de qualification et de leur connaissance du français, ainsi que de nos propres capacités à les accueillir décemment. En somme : une politique volontariste et sélective (pas forcément de drainage de cerveaux), qui conduit à remettre en cause l’espace Schengen.

Une politique qui permette l’indispensable maîtrise des flux d’entrée et favorise l’intégration-assimilation fondée sur un meilleur « dialogue des cultures », dans une laïcité véritable, en France même, dans les banlieues. La France, déjà multiraciale, a intérêt à en faire une richesse plutôt qu’un handicap.

La France devra alors, en concertation avec ses partenaires, donner un contenu au dialogue des cultures, à la solidarité et à la coopération pour le développement humain, économique et culturel, les membres les plus riches décidant d’augmenter fortement le volume, la pertinence et l’efficacité de leur aide bilatérale et multilatérale au développement, tant au Sud qu’à l’Est.

Il faudra aussi, sans revenir à une conception de la Francophonie trop étroitement fondée sur la langue, de corriger la dérive vers une sorte d’  « ONU bis ». Des pays admis ont bien moins de « titres de francophonie » et de liens avec le français que la Russie, voire la Grande Bretagne! A la différence de l’Hispanophonie, de la Lusophonie et…du Commonwealth, la Francophonie ne se réduit pas au cercle d’une métropole entourée de ses ex-colonies : moins de la moitié des membres de l’O.I.F. ont été administrés par la France

Il est flatteur aussi que l’on souhaite entrer en Francophonie et non pas en sortir.

Mais un équilibre reste à trouver : trop distendre les liens avec le français éloignerait des valeurs véhiculées, diluer la cohérence, diminuer l’audience.

Il faut concevoir, au-delà du Cercle : une reprise forte de la diffusion à l’étranger par les centres culturels, écoles et filières universitaires et de recherche, Alliances françaises, missions religieuses et laïques, œuvres d’éducation et de soins…

V) Propositions pour une politique de la Francophonie par l’O.I.F. :

- Renforcer dans  l’O.I.F. un véritable laboratoire d’idées et de recherches sur le fait francophone et la Francosphère, sur la maîtrise du triangle surgi dans le débat mondial : « identité-culture-communication », sur la « laïcité de cohabitation » (Wolton), sur des présentations consensuelles des conflits, des guerres, des diverses colonisations ayant marqué les histoires nationales, sur les formes et contenus de communication, sur la production de l’innovation culturelle, sur les lieux, moyens, de rencontres et de dialogue, en Francosphère et entre elle et les autres ensembles géolinguistiques et géoculturels : arabophonie, hispanophonie, lusophonie (Villers-Cotterêts, entre autres) … ;

- conjuguer logique intergouvernementale et logique ONG, mobiliser les « sociétés civiles », les militants des associations de promotion de la Francophonie : leur donner un rôle de réelle consultation et proposition, dans l’OIF, d’abord au sein de la Maison de la Francophonie av.Bosquet à Paris et de son annexe proposée par nos associations  à Villers-Cotterêts qui a la vocation d’un haut lieu de la diversité linguistique et culturelle du monde ;

- affirmer en droit et en fait une priorité très forte aux pays membres de la Francophonie dans l’aide au développement ;

- recentrer les actions sur l’éducation et la culture, la coopération interuniversitaire, la fourniture massive de livres en français manquant encore cruellement en Afrique, sur la jeunesse et la justice ;

- faire vivre les « volontaires de l’aide au développement en Francophonie »;

- renforcer le sentiment d’appartenance à une communauté francophone : « citoyenneté francophone adaptée », visas et passeport francophones  avec de réels avantages négociés, « club francophone des grandes entreprises mondialisées » et renforcement du Forum francophone des Affaires, etc. ;

- mettre fin, lors des salons du livre, à la distinction entre « auteurs français » et « francophones », et imposer la notion d’ « auteurs de langue française » ;

- adopter dès Montreux une recommandation aux gouvernements de mettre, dans toutes leurs interventions publiques et télévisées, le drapeau de la Francophonie en évidence à côté de leur drapeau national chaque fois qu’ils l’accompagnent déjà d’un autre : du drapeau européen en France; de la feuille d’érable canadienne au Québec …;

- obtenir des 69 partenaires du gouvernement français adhérents volontaires à la communauté, de donner chez eux à la langue française, dans enseignement, médias et communications officielles et diplomatiques, un statut au moins équivalent à celui qu’ils accordent à toute autre langue étrangère sur leur sol : clause « de la langue étrangère la plus favorisée », au-delà des timides mesures décidées en 2008 à Québec, et guère appliquées ;

- obtenir des 69 partenaires dans la communauté francophone, très impliquée dans la Convention Unesco sur la diversité culturelle de 2005 contre les seules voix des Etats-Unis et d’Israël, de l’appliquer scrupuleusement ;

- adopter  la recommandation de feu M. Maurice Druon, et de hautes personnalités européennes et francophones, de réserver au français le rôle de langue de référence juridique dans les institutions européennes ;

- obtenir un engagement des Etats membres à la fois de l’O.I.F. et de l’U.E. qui reçoivent de « Bruxelles » des documents uniquement en anglais de les retourner tant qu’une version en français ne leur est pas parvenue, en stricte application de la réglementation européenne en vigueur ;

- obtenir, en liaison avec l’Hispanophonie et la Lusophonie, des Etats ACP membres à la fois de ces ensembles linguistiques et de la Francophonie qu’ils exigent de Bruxelles le traitement de leurs dossiers d’aide au développement dans les langues de ces ensembles.

ALBERT SALON (*)

(1) Chance soulignée avec force dans d’importants ouvrages parus récemment : « Les défis de la Francophonie » (de  Arnaud, Guillou et Salon ; Max Milo éditeur), « Alerte francophone » (de Gilder et Salon ; A. Franel éd), « Francophonie puissance » (de Guillou ; Ellipses), « Pourquoi veulent-ils tuer le français ? » (de Lecherbonnier ; Albin Michel), « Combat pour le français » (de Hagège ; Odile Jacob), « Demain la Francophonie » (de Wolton ; Flammarion), « France, Québec, Wallonie : même combat ! » (de Albert Salon, L’Harmattan)…

(*) Albert Salon, ancien Ambassadeur, Président du FFI-France et d’ « Avenir de la langue française », au nom de plusieurs associations de promotion de la francophonie. Paris, le 18 juin 2010. (FFI : Forum francophone international-France)

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