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#GuerredALGERIE #France "Souvenons-nous du 17 octobre ! (1961) " Par Jean Daniel (ATTENTION Exceptionnel !)

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[Photo : Des Algériens arrêtés lors de la manifestation sont emmenés par la police à bord de cars et d'autobus en direction des centres de tri, à Vincennes, au Palais des Sports ou au stade de Coubertin. (AFP)]

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[NDLR : Nous avons décidé de republier cet article exceptionnel de Jean DANIEL. Il pointe  division et concurrence au sein du FLN sur fond d'assassinats de policiers français à Paris. La complexité de cette situation permet de mieux comprendre la réaction de la Préfecture de Paris sous la pression des syndicats policiers. La France comptait des centaines de milliers de jeunes français du contingent en Algérie. C'était la guerre. Qui cherche à occulter cette réalité? JLuc Pujo]

Initialement publié le 17 octobre 2011 à 15h46

Aujourd'hui, 17 octobre 2011, on célèbre le sinistre anniversaire de la chasse aux Algériens menée en plein Paris par la police, le 17 octobre 1961.

J'ai, personnellement, mais aussi au nom du "Nouvel Observateur" signé une pétition initiée par notre confrère Edwy Plenel qui contient un appel à la mémoire mais aussi à la justice. Bertrand Delanoë, pour sa part, a organisé plusieurs manifestations pour associer la mairie et la ville de Paris à cette célébration.

Le 17 octobre 1961, nous étions en pleine guerre d'Algérie. Jusqu'à une certaine période, le territoire de la métropole française et de la capitale avait été épargné. La fédération de France du Front de libération national algérien (FLN) n'avait pas jugé politique ni d'ailleurs stratégiquement intéressant de s'aliéner une population française dont la majorité n'était en rien associée aux répressions de type colonial et policier.

Cependant, dans les derniers mois et plus exactement depuis juin 1961, des attentats avaient eu lieu contre les forces de l'ordre à Paris.

Il faut se souvenir que sur les 350.000 Algériens résidant alors en France, 180.000 vivaient en région parisienne et que le FLN contrôlait, avec une poigne implacable, tous les immigrés algériens, en arrivant à un comportement d'une impitoyable cruauté quand ces immigrés restaient acquis au grand leader nationaliste algérien Messali Hadj. On ne peut donc pas dire que l'on vivait dans ces milieux dans la paix et la confiance et surtout dans la discipline.

Cependant, comme le rappelle deux auteurs britanniques Jim House et Neil Master, de juin à août 1961, la fédération de France du FLN avait décidé d'une trêve rompue par les militants parisiens de cette fédération qui ont assassinés une dizaine de policiers en deux mois.

A partir de ce moment, le préfet de police, au nom célèbre de Maurice Papon, sous les ordres du ministre de l'intérieur Roger Frey et après des instructions données par le Général de Gaulle lui-même, la répression va s'organiser. D'autant que les syndicats policiers, indignés par les attentats dont ils étaient les victimes, réclament non seulement des armes et des gilets par balles, mais des ordres écrits donnant libre cours à la répression.

Nous en arrivons donc à cette terrible journée du 19 aout 1961, où la répression d'une manifestation se voulant et se déclarant pacifique, mais qui avait été solennellement et précisément interdite, aboutît à un massacre innommable d'Algériens traqués au faciès partout où ils prétendaient défiler.

Le spectacle de cette répression a été épouvantable, il y a eu une centaine de morts. Contrairement à ce qui a été écrit, les journalistes ne se sont pas laissés imposer le moindre silence. Il y a eu des quantités d'articles dans toute la presse française. Une seule chose manquait, qui ne ferait pas défaut aujourd'hui: il n'y avait pas une seule photo, donc pas une seule trace visible dans les journaux, à la télévision, et au cinéma.

Maintenant il faut poser deux ou trois questions essentielles:

- Le gouvernement provisoire du FLN se trouvait à Tunis, c'est lui qui donnait les directives à toutes ses troupes et à tous ses militants, où qu'ils soient. Ce gouvernement a-t-il donné des ordres pour qu'une manifestation, même pacifique, ait lieu ? Il n'en est rien. Au contraire, et c'est très important. Les négociations entre la France et les responsables de l'insurrection algérienne faisaient de grands progrès et elles allaient d'ailleurs aboutir à la proclamation de l'indépendance au printemps 1962, six à sept mois plus tard.

- Pourquoi la section parisienne de la fédération de France n'a-t-elle pas obéit aux ordres de son gouvernement ? Plusieurs réponses. D'abord, ils n'étaient pas forcément d'accord avec un gouvernement, celui de Tunis, qui était lui-même divisé entre des groupes politiques et des groupes militaires. Ensuite, les militants parisiens se sentaient frustrés d'une participation directe à l'insurrection alors que celle-ci connaissait des succès. Ensuite encore, les Parisiens du FLN estimaient qu'on ne pouvait pas laisser sans réponse l'organisation de la répression où le racisme anti-arabe et la brutalité des méthodes se développaient de plus en plus. Reste que le 16 octobre, la veille du massacre, les responsables algériens avaient bel et bien été informés de ce qui les attendait s'ils manifestaient. C'est pourquoi, après le massacre, il y a eu de violents désaccords entre les responsables algériens.

A la question de savoir si un résistant ne doit pas craindre la répression lorsque son devoir est de résister, il y a une réponse: lorsque les résistants français ont scié des rails et des trains, ils savaient que des dizaines d'otages seraient fusillés. Mais c'est là que la réponse se complique. Lorsque la résistance contribue à faire aboutir l'indépendance, justifie le risque d'exposer des civils au martyre. Mais précisément, les Algériens qui étaient opposés à la manifestation avançaient que ce n'était pas au moment où les négociations progressaient qu'il convenait de compromettre le travail des négociateurs.

On a compris que je tenais à expliquer la raison de ma signature de la pétition. Car la question des responsabilités se posent à la fois aux Algériens et aux Français.

Reste que de toute manière, les conditions dans lesquelles la répression du 17 octobre 1961 a été conçue, décidée, organisée, et perpétrée, relèvent d'une barbarie dont seuls les Juifs avaient été l'objet dans un passé récent.

Jean Daniel – Le Nouvel Observateur

SOURCE:

https://www.nouvelobs.com/signatures/jean-daniel/20111017.OBS2637/souvenons-nous-du-17-octobre-par-jean-daniel.html

Commentaires

de Paul De Florant
17 octobre 1961 : rétablir la Vérité.
Relire l'article exceptionnel de Bernard Lugan que je poste en commentaire.
Pourquoi ce pays que l'on appelle la France cultive-t-il à ce point l'autoflagelation ? et quand il n'ya plus rien à flageller, on invente ?
Quel est ce peuple ? quelle sont ces élites qui apprennent à ce peuple d'avoir honte de lui-même ! de ce qu'il est de grand comme de moins grand ?
Faut-il toujours punir ce peuple régicide ?
On n'en peut plus.
Il faudra remettre la France debout mais sur ses deux jambes la gauche et la droite !
Bonne lecture !
*
Bernard Lugan : « 17 octobre 1961 : un « massacre » imaginaire » 17/10/2021 04:31
*
Le 17 octobre prochain, comme chaque année, les autorités françaises, les islamo-gauchistes et le « Système » algérien vont commémorer un massacre qui n’a pas eu lieu…
Sur son blog, ayant périodiquement à la même date déconstruit l’histoire officielle de ce prétendu « massacre », Bernard Lugan renvoie au chapitre IX intitulé « 17 octobre 1961, un massacre imaginaire » de mon livre « Algérie l’Histoire à l’endroit » en ajoutant ici quelques éléments essentiels à la compréhension du montage culpabilisateur qui nous est imposé :
1) La guerre d’indépendance algérienne se déroula également en métropole. Pour la période du 1er janvier 1956 au 23 janvier 1962, 10 223 attentats y furent ainsi commis par le FLN. Pour le seul département de la Seine, entre le 1er janvier 1956 et le 31 décembre 1962, 1433 Algériens opposés au FLN furent tués et 1726 autres blessés. Au total, de janvier 1955 au 1er juillet 1962, en Métropole, le FLN assassina 6000 Algériens et en blessa 9000 autres.
2) Face à ces actes de terrorisme visant à prendre le contrôle de la population algérienne vivant en France, le 5 octobre 1961, un couvre-feu fut imposé à cette dernière afin de gêner les communications des réseaux du FLN et l’acheminement des armes vers les dépôts clandestins.
3) En réaction, le 17 octobre 1961, le FLN décida de manifester afin de montrer sa force, et pour tenter d’achever sa prise de contrôle des Algériens vivant en métropole.
4) Assaillis de toutes parts, les 1658 hommes des forces de l’ordre rassemblés en urgence, et non les 7000 comme cela est trop souvent écrit, sont, sous la plume de militants auto-baptisés « historiens », accusés d’avoir massacré des centaines de manifestants, d’en avoir jeté des dizaines à la Seine et d’en avoir blessé 2300.
Or, cette version des évènements du 17 octobre 1961 à Paris relève de la légende et de la propagande. Tout repose en effet sur des chiffres inventés ou manipulés à l’époque par le FLN algérien et par ses alliés communistes. Jouant sur les dates, additionnant les morts antérieurs et postérieurs au 17 octobre, pour eux, tout Nord-Africain mort de mort violente durant le mois d’octobre 1961, est une victime de la « répression policière »… Même les morts par accident de la circulation comme nous le verrons plus loin !!!
Cette manipulation fut réduite à néant en 1998, quand le Premier ministre de l’époque, le socialiste Lionel Jospin, constitua une commission d’enquête. Présidée par le conseiller d’Etat Dieudonné Mandelkern, elle fut chargée de faire la lumière sur ce qui s’était réellement passé le 17 octobre 1961 à Paris. Fondé sur l’ouverture d’archives jusque-là fermées, le rapport remis par cette commission fit litière de la légende du prétendu « massacre » du 17 octobre 1961[1].
Le paragraphe 2.3.5 du Rapport intitulé Les victimes des manifestations est particulièrement éloquent car il parle de sept morts, tout en précisant qu’il n’y eut qu’un mort dans le périmètre de la manifestation, les six autres victimes n’ayant aucun lien avec cet évènement, ou ayant perdu la vie postérieurement à la dite manifestation dans des circonstances parfaitement détaillées dans le rapport.
Quel est donc l’état des connaissances aujourd’hui ?
– Le 17 octobre 1961 à Paris, il n’y eut qu’une seule victime dans le périmètre de la manifestation… et ce ne fut pas un Algérien, mais un Français nommé Guy Chevallier, tué vers 21h devant le cinéma REX, crâne fracassé. Par qui ? L’enquête semble attribuer cette mort à des coups de crosse de mousqueton.
– Le 17 octobre 1961, alors que se déroulait dans Paris un soi-disant « massacre » faisant des dizaines, voire des centaines de morts algériens, ni les hôpitaux parisiens, ni l’Institut Médico-Légal (la Morgue), n’enregistrèrent l’entrée de corps de « NA » (Nord-Africain dans la terminologie de l’époque). Ce qui ne veut naturellement pas dire qu’il n’y eut pas de blessés, mais mon analyse ne porte que sur les morts.
– A Puteaux, donc loin du périmètre de la manifestation, deux morts furent néanmoins relevés, or ils étaient étrangers à la manifestation. L’un d’entre eux deux, Abdelkader Déroues avait été tué par balle, quand le second, Lamara Achenoune, avait quant à lui été achevé par balle après avoir été étranglé.
– Le 18 octobre, à 04 heures du matin, le bilan qui parvint à Maurice Legay le directeur général de la police parisienne était donc de 3 morts, pour rappel, Guy Chevallier, Abdelkader Déroues et Lamara Achenoune. Nous sommes donc loin des dizaines ou des centaines de morts et de « noyés » auxquels la bien-pensance française rend annuellement hommage !!!
Conclusion : le seul mort algérien de la manifestation est donc un Français métropolitain…
Certes, postulent les accusateurs de la France, mais les cadavres des Algériens « massacrés » par la police furent reçus à l’IML, l’Institut Médico-Légal de Paris (la Morgue), les jours suivants.
Cette affirmation est également fausse. En effet, l’Annexe III du « Rapport Mandelkern » donne un décompte détaillé des 41 cadavres de Nord-Africains entrés à l’IML de Paris du 19 octobre au 4 novembre. Pour mémoire, le 17 octobre il n’y eut aucune entrée, et 2 le 18 octobre.
Sur ce nombre de 41 morts, 25, soit 13 corps identifiés et 12 corps non identifiés sont mentionnés sous la rubrique « Dossiers pour lesquels les informations disponibles sur la date de la mort ou ses circonstances ne permettent pas d’exclure tout rapport avec les manifestations des 17-20 octobre ». Ceci fait que les 16 autres morts n’ont rien à voir avec la manifestation du 17 octobre.
En ce qui concerne les 25 morts restants, notons immédiatement que le sous-titre de l’Annexe III est singulier car la manifestation dont il est question eut lieu le 17 octobre et non les 19 et 20 octobre. De plus, ce titre est trompeur car il laisse sous-entendre que ces 25 décès auraient donc pu être causés par la police française, chiffre d’ailleurs régulièrement et péremptoirement transformé en morts avérés par certains auteurs ou journalistes. Or :
1) Si ces derniers avaient pris la peine de lire le document en question dans son originalité et son intégralité, et non à travers ses recensions, ils auraient vu qu’en face de chaque corps est porté un numéro de dossier de la police judiciaire suivi de la précision suivante : « Indications relevées dans le dossier d’enquête de la police judiciaire ».
2) Or, grâce à ces « Indications relevées dans le dossier d’enquête de la police judiciaire », il apparait clairement que 17 de ces 25 défunts ont été tués par le FLN, la strangulation-égorgement, l’emploi d’armes blanches etc., n’étant pas d’usage dans la police française… D’autant plus que parmi ces 17 morts, quatre furent assassinés le 19 octobre, soit deux jours après le 17 octobre, à savoir un commerçant qui avait refusé de suivre la grève du 19 octobre décrétée par le FLN et deux autres ligotés et noyés par ce même FLN…
3) Cela interroge donc sur le placement de ces morts dans la rubrique « Dossiers pour lesquels les informations disponibles sur la date de la mort ou ses circonstances ne permettent pas d’exclure tout rapport avec les manifestations des 17-20 octobre ».
*
Voyons le détail de cette liste :
Corps Identifiés :
– 6 furent tués par le FLN (strangulation, arme blanche, arme à feu)
– 2 décès sur la voie publique (troubles mentaux et alcoolisme)
– 1 décès par crise cardiaque le 21 octobre
– 1 décès par accident de la circulation
– 1 mort à l’hôpital Boucicaut des blessures reçues le 17 octobre.
– 2 morts dont les causes ne sont pas élucidées.

Corps non identifiés
– 7 tués par le FLN (1 arme blanche, 2 noyades, 1 noyade nu, 2 armes à feu, 1 strangulation)
– 1 mort de blessures à la tête. Blessures reçues le 17 octobre ? Nous l’ignorons.
– 1 mort des suites de blessures reçues Place Saint-Michel
– 3 morts dont les causes ne sont pas élucidées.

Conclusion, sur 25 morts « pour lesquels les informations disponibles sur la date de la mort ou ses circonstances ne permettent pas d’exclure tout rapport avec les manifestations des 17-20 octobre », la Morgue n’en a reçu que deux décédés très probablement des suites de blessures reçues le 17 octobre. Une interrogation demeure pour l’un d’entre eux, mais sans aucune certitude.
Soit 2 ou 3 morts des suites de leurs blessures, aucun n’ayant perdu la vie durant la manifestation[2] laquelle n’a donc comme il a été dit plus haut, connu qu’un seul mort, le Français Guy Chevallier.
Nous voilà donc très loin des 50, 100, 200 ou même 300 morts « victimes de la répression » avancés par certains, et pour lesquels François Hollande a reconnu la responsabilité de la France !!!
*
Mais, plus encore :
1) Le « Graphique des entrées de corps « N.A » (Nord-africains) par jour. Octobre 1961 », nous apprend que du 1er au 30 octobre 1961, 90 cadavres de « NA », furent reçus à l’Institut Médico-Légal. Or, selon les enquêtes judiciaires, chaque décès étant suivi d’une enquête, la plupart de ces morts étaient des musulmans pro-Français assassinés par le FLN !!!
2) Pour toute l’année 1961, 308 cadavres de « N.A » entrèrent à l’IML, dont plusieurs dizaines de noyés. Or, toujours après enquête, il fut établi que la quasi-totalité de ces morts étaient des victimes du FLN (Harkis, partisans de la France, individus ayant refusé d’acquitter « l’impôt de guerre », membres du MNA etc.). Or, une des méthodes d’assassinat du FLN était l’étranglement ou l’égorgement suivi de la noyade…
Pour les historiens de métier, les prétendus « massacres » du 17 octobre 1961 constituent donc un exemple extrême de manipulation de l’histoire.
Quand la liberté de penser sera rétablie dans cette Corée du Nord mentale qu’est devenue la pauvre université française, ils feront l’objet de thèses car ils seront alors étudiés comme un cas d’école de fabrication d’un mythe. Comme Katyn, comme les « charniers » de Timosoara en Roumanie, comme les « couveuses » au Koweit ou encore comme les « armes de destruction massive » en Irak.
Mais, dans l’immédiat, sourds, aveugles ou simples agents d’influence, les butors continueront à ânonner la légende culpabilisatrice du « 17 octobre 1961 ». D’autant plus que, dans l’actuel contexte de tension franco-algérienne, Alger va faire donner ses affidés qui seront complaisamment relayés par ses habituels supplétifs de presse.
Bernard Lugan (historien)
*
[1] « Rapport sur les archives de la Préfecture de police relatives à la manifestation organisée par le FLN le 17 octobre 1961 ». Rapport établi à la demande du Premier ministre, M. Lionel Jospin et remis au mois de janvier 1998 par M. Dieudonné Mandelkern président de section au Conseil d’Etat, président ; M. André Wiehn, Inspecteur général de l’administration ; Mme Mireille Jean, Conservateur aux Archives nationales ; M. Werner Gagneron, Inspecteur de l’administration. En ligne.
[2] Dans une note infrapaginale, Brunet (2011) parle de 13 morts « certains » dont plusieurs blessés décédés ultérieurement. Or, ces morts ne sont pas documentés dans les archives de l’IML. Brunet, J-P., (2011) « Combien y a-t-il eu de morts lors du drame du 17 octobre 1961 ? ». Atlantico, 17 octobre 2011.
Source:
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
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18 October - 20h54

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