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« LA REVOLUTION FRANÇAISE » ALBERT MATHIEZ - Préface Mme GAUTHIER & M. BOSC - Note de lecture de Jean-Luc Pujo

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« LA REVOLUTION FRANÇAISE » ALBERT MATHIEZ

Mme Florence GAUTHIER

Samedi 24 novembre 2012

Quartidi - 4 - Frimaire an 220 de la République

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Chère Florence Gauthier,

Merci à vous d’avoir accepté notre invitation pour venir présenter une édition exceptionnelle de l’oeuvre d’Albert MATHIEZ : « La Révolution française » que vous avez préfacé avec votre complice M. Yannick BOSC.

Je rappelle que vous  êtes  historienne, maître de conférences HDR en histoire moderne à l’Université Paris Diderot-Paris 7, spécialiste de la Révolution française et membre de la rédaction du site consacré à la Révolution française : Révolution Française.net

***

J’ai la charge d’introduire ce débat et je vous propose si vous en êtes d’accord de présenter rapidement le livre de Mathiez avant de conclure par quelques questions.

***

Le livre de Mathiez réunit – pour la première fois – trois tomes écrits en 1922, 1924 et 1927 :

La chute de la Monarchie en 1922 ;

La Gironde et la Montagne, en 1924 ;

La Terreur en 1927 ;

... Qui avaient été publiés séparément aux Editions Colin.

***

Un rapide survol s’impose.

1° - Dans ce premier tome « La chute de la Monarchie » …

Mathiez va s’attacher à nous expliquer comment s’opère ce mouvement en présentant successivement :

La crise de l’Ancien régime ;

Il écrit :«  Les révolutions, les véritables, celles qui ne se bornent pas à changer les formes politiques et le personnel gouvernemental, mais qui transforment les institutions et déplacent la propriété, cheminent longtemps invisibles avant d’éclater au grand jour sous l’effet de quelques circonstances fortuites »

Et c’est même dans un pays qui s’enrichie que la révolte éclatera.

« Ce n’est pas dans un pays épuisé, - écrit Mathiez - mais au contraire dans un pays florissant, en plein essor, qu’éclatera la Révolution. La misère qui détermine parfois les émeutes, ne peut pas provoquer les grands bouleversements sociaux. Ceux-ci naissent toujours du déséquilibre des classes. (…) Un signe infaillible que le pays s’enrichit, c’est que la population augmente rapidement et que les prix des denrées, des terres et des maisons subit une hausse constante ».

Mathiez va alors s’attacher à montrer l’enchainement des circonstances. Comment de « La révolte nobiliaire », le rappel de Necker, l’affaiblissement du Roi, la convocation des Etats Généraux  … allaient entrainer la mise en place des conditions propres à une Révolution… ;

Petit à petit, le pouvoir échappe.

« La révolte parisienne » impose un rapport de force nouveau entre les trois ordres, écrit-il et nous avons tous en tête Mirabeau - « allez dire à ceux qui vous envoient que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous ne quitterons nos places que par la puissance des baïonnettes », l’absence de réaction du Roi à la hauteur de la situation – Mathiez sans concession :  (« Si Louis XVI était monté à cheval, s’il avaient pris en personne le commandement des troupes, comme l’aurait fait Henri IV, peut-être aurait-il réussi à les maintenir dans le devoir et à faire aboutir son coup de force. Mais Louis XVI était un bourgeois » p. 73)…

A cette révolte parisienne s’ajoute la révolte des provinces – juillet 1789 – l’abolition des rentes féodales ne se faisant que progressivement ce qui alimenta des troubles durant des mois « Les paysans recommençaient à s’assembler. Ils envoyaient des pétitions véhémentes contre les décrets » écrit Mathiez

Et l’Historien Doniol précisant : « La forme féodale disparaissait mais les effets de la féodalité mettrait beaucoup de temps à s’éteindre »

Mathiez va alors s’attacher à dresser un portrait de Lafayette, auquel il consacre un chapitre entier - (Lafayette, maire du palais) – pour  son rôle important durant les premiers mois de la Révolution mais dont il rappelle qu’il fît tirer sur la foule (1791 juin-juillet)

Il évoque la situation financière de la France : « La lutte des deux France s’est exercée sur tous les terrains. Toute crise politique s’est doublée d’une crise économique et sociale. C’est ce qu’il ne faut pas oublier quand on veut juger avec équité les hommes et les choses de cette époque. La vie chère, conséquence de l’assignat, allait contribuer bientôt à la chute de la riche bourgeoisie qui avait gouverné, sous la Constituante, d’autant plus qu’aux troubles politiques et économiques se mêla une agitation religieuse de plus en plus aigue » (Chapitre « L’épineuse question financière ») ;

Justement, dans le chapitre « La question religieuse » Mathiez décrit en effet la situation d’un clergé divisé.

« Jusque là le bas clergé, dans sa grande masse, avait fait cause commune avec la Révolution qui avait presque doublé le traitement des curés et vicaires. Mais la vente des biens de l’église, la fermeture des couvents après la suppression de la dîme avaient déjà inquiété plus d’un prêtre attaché à la tradition » p. 153

C’est dans ce contexte qu’intervient la fuite du roi (juin 1791) qui précipite la chute de la monarchie.

Troubles contre-révolutionnaires, jacqueries paysannes et ouvrières, et coalition européenne contre la France précipitèrent le pays dans la guerre.

L’étape suivante était toute désignée : « le renversement du trône »,

« Ce renversement avait la valeur d’une Révolution nouvelle » écrit Mathiez -  « La démocratie pointait à l’horizon ».

Ainsi se termine ce premier tome.

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2° - Dans le second tome « La Gironde et la Montagne » !... Mathiez va s’attacher à nous présenter successivement dans une première partie : la fin de la Législative (10 août au 20 septembre 1792) Dans une seconde partie : Le gouvernement de la Gironde ;

Et Mathiez d’écrire sentencieux : « Les six semaines qui s’écoulèrent depuis le 10 août 1792 jusqu’au 21 septembre de la même année (c'est-à-dire depuis la prise des Tuileries et l’internement de Louis XVI au Temple jusqu’à la réunion de la Convention) ont une importance capitale dans l’histoire de la Révolution » p. 215 (chap. La commune et l’Assemblée) ;

« Les circonstances, la lutte contre le double péril extérieur et intérieur, exigeait une dictature, mais cette dictature ne parvint pas à prendre une forme définie, à s’incarner dans une institution, dans un homme, dans un parti ou dans une classe ».

« Aux armes, citoyens, aux armes, l’ennemi est à nos portes. Marchez à l’instant sous vos drapeaux, allons nous réunir au Champs de Mars ! Qu’une armée de soixante mille hommes se formes à l’instant »  telles étaient les termes de la Proclamation de la Commune aux Parisiens ! p. 232 ;

Et Danton : « Le tocsin qu’on va sonner n’est point un signal d’alarme, c’est la charge sur les ennemis de la patrie. Pour les vaincre, Messieurs, il nous faut de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace et la France est sauvée » p. 233 (chapitre Septembre)

***

Dans le chapitre consacré aux élections à la Convention Mathiez va s’attacher à mettre en évidence l’opposition Girondin/Montagnard :

« Personne ne pouvait s’y tromper. La rivalité de la Gironde et de la Montagne, née sur la question de la guerre, envenimée sur la question de la déchéance, n’était plus depuis le 10 août, une rivalité purement politique. La lutte des classes s’ébauchait. » Écrit Mathiez.

« La plupart des Montagnards étaient, en effet, d’origine bourgeoise comme les Girondins. La politique de classe qu’ils inaugurent ne sortait pas pleinement des entrailles du peuple. Ce fut une politique de circonstance, une manière plébéienne, dit Karl Marx, d’en finir avec les rois, les prêtres, les nobles, avec tous les ennemis de la Révolution. Cela suffit à l’opposer radicalement à la politique girondine. »

Et puis – le 20 septembre 1792 -  le miracle de Valmy où les sans-culottes résistent contre toute attente.

« Valmy n’était pas une victoire stratégique, puisque l’armée prussienne restait intacte et se trouvait toujours entre Paris et l’armée française. Mais c’était une victoire morale. Les sans-culottes si méprisés avaient tenu au feu. Les Prussiens et les autrichiens perdirent l’illusion qu’ils pourraient les vaincre sans peine en rase campagne. » p. 283.

Et Mathiez de conclure : « Ces hommes de tradition avaient cru naïvement qu’en dehors de l’ordre monarchique il n’y avait place que pour l’anarchie et l’impuissance. La Révolution se révéla à eux pour la première fois sous sa face organique et constructive. Ils en éprouvèrent un ébranlement profond, que Goethe, qui était présent au bivouac prussien, aurait traduit, dit-on, par le mot fameux : « de ce lieu et de ce jour, date une ère nouvelle dans l’histoire du monde.» p.283 (chapitre Valmy)

Ainsi Mathiez peut écrire : « Dans ces premiers jours de la Convention, tout souriaient aux Girondins »

De cette opposition pouvons-nous retenir notamment cette diatribe de Couthon  : « Il existe à la Convention deux partis : il y a un parti de gens à principes exagérés, dont les moyens faibles tendent à l’anarchie, il y en a un autre de gens fins, subtils, intrigants et surtout extrêmement ambitieux, ils veulent la République, ceux-ci ; ils la veulent parce que l’opinion publique s’est expliquée, mais ils veulent l’aristocratie, ils veulent se perpétuer dans leur influence, avoir à leur disposition les places, les emplois, surtout les trésors de la république… voyez les places, elles coulent toutes de cette faction ; voyez la composition du Comité de Constitution, c’est cela surtout ce qui m’a dessillé les yeux. C’est sur cette faction qui ne veut la liberté que pour elle, qu’il faut tomber à bras raccourcis. » p.301

Autre étape essentielle fut le procès du roi.

Et cette harangue de Saint Just :

« Louis a combattu le peuple, il est vaincu. C’est un barbare, c’est un étranger prisonnier de guerre ; vous avez vu ses desseins perfides ; vous avez vu son armée, il est le meurtrier de la Bastille, de Nancy, du Champs de Mars, de Tournay, des Tuileries, quel ennemi, quel étranger vous a fait plus de mal ! » p. 325

Fallait-il voter la mort du Roi ?

« Pour moi, écrit LE BAS, je crois que cet acte a sauvé la République et nous répond de l’énergie de la Convention ».

Et Mathiez d’écrire « Tous les représentants qui ont voté la mort ont maintenant un intérêt personnel à empêcher à tout prix une restauration qui leur ferait expier chèrement leur vote » .

« C’est maintenant que les représentants vont déployer un grand caractère, il faut vaincre ou mourir ; tous les patriotes en sentent la nécessité » écrit LE BAS qui conclu :

« Nous voilà lancés, les chemins sont rompus derrière nous, il faut aller de l’avant, bon gré, mal gré, et c’est à présent surtout qu’on peut dire : vivre libre ou mourir » !

Et puis la guerre, toujours la guerre.

Mathiez évoque la conquête des frontières intérieures (naturelles) puis la première coalition.

« La France révolutionnaire ne pouvait compter que sur elle-même » écrit-il.p. 370

Et puis les trahisons : celle de Dumouriez (p. 371) et  les guerres  toujours : celle de Vendée – terrible – (p. 381) qui allait précipiter la chute de la Gironde p. 392

«  La Vendée eut pour contrepartie la Terreur. Mais la Terreur ne pouvait fonctionner que par les Montagnards qui en avaient créé les rouages et à leur profit. La Vendée creusa ainsi la chute de la Gironde. » p. 391

« Ainsi finit, par le triomphe de la Montagne, la lutte commencée dès la Législative. Les Girondins furent vaincus, parce que ayant déchainé la guerre étrangère, ils ne surent pas procurer la victoire de la paix ; parce que ayant les premiers dénoncé le roi et réclamé la république, ils ne surent pas se résoudre à renverser l’un et à proclamer l’autre ; parce qu’ils hésitèrent à tous les moments décisifs, à la veille du 10 août, à la veille du 21 janvier ; parce qu’ils donnèrent l’impression, par leur politique équivoque, qu’ils nourrissaient des arrière-pensées égoïstes, arrière-pensées de maroquin ministériels, arrière-pensées de régence, de changement de dynastie ; parce qu’au milieu de la terrible crise économique qui sévissait, ils ne surent proposer aucun remède et s’élevèrent avec étroitesse et amertume contre toutes les revendications de la classe des sans-culottes, dont ils méconnurent la force et les droits, parce qu’ils s’opposèrent avec une obstination aveugle à toutes les mesures extraordinaires que la situation exigeait ; parce que, après s’y être opposé par leur vote, ils essayèrent de les entraver dans leur application ; parce que, en un mot, ils négligèrent le salut public et qu’ils s’enfermèrent dans une politique de classe au service de la seule bourgeoisie »

En ce début juin 1793, 22 députés girondins perdent leur fonction et sont assignés à résidence.

« La Révolution du 2 juin est une révolution patriotique » écrit Mathiez qui ouvre ainsi son tome trois consacré à la Terreur !

***

3° - Dans ce troisième tome « La Terreur » Mathiez va s’attacher à décrire les mécanismes par lesquels s’exerce la répression contre les royalistes et les girondins

Face aux menaces il faut :

« Une volonté UNE. Il faut qu’elle soit républicaine ou royaliste. Pour qu’elle soit républicaine, il faut des ministres républicains, des papiers (des journaux) républicains, des députés républicains, un gouvernement républicain. Les dangers intérieures viennent des bourgeois et pour faire périr les bourgeois, il faut rallier le peuple (…) Il faut que l’insurrection actuelle continue jusqu’à ce que les mesures nécessaires pour sauver la République aient été prise. (…) il faut que l’insurrection s’étende de proche en proche sur le même plan, que les sans-culottes soient payés et restent dans les villes.  Il faut leur procurer des armes, les colérer, les éclairer, il faut exalter l’enthousiasme républicain par tous les moyens possibles. » p. 416)

Dans cet esprit, se met en place le Grand Comité de salut public (juillet 1793) – Cambon – Barère – Danton.

Que rejoint Robespierre …

«  C’est une politique à la fois nationale et démocratique que Robespierre va inaugurer  – Ecrit Mathiez -  Et, pour son coup d’essai, il va avoir à lutter, à Paris même, contre les extrémistes de gauche alliés aux extrémistes de droite et il leur livrera bataille au milieu d’une disette accrue, quand des frontières les nouvelles désastreuses s’accumulaient ». écrit Mathiez p. 435.

En effet : « Quand Robespierre entra au Comité de salut public, le 27 juillet 1793,  il était grand temps. » La situation de la République était désespérée. Sur les frontières les armées refluaient (...) les royalistes masqués s’enhardissaient jusque dans les villes fidèles. Tous ceux qui étaient las de la guerre souhaitaient en dedans d’eux-mêmes la victoire de l’ennemi et la restauration de la monarchie, afin qu’on en finisse. »p.436

« La guerre à outrance jusqu’à la victoire complète » – portée par Hébert – « appuyée par un fort parti de pacifistes, c'est-à-dire de royaliste déguisés », va précipiter l’inauguration de la Terreur.

De ces tensions, le Comité de salut public sort renforcé « avec des pouvoirs singulièrement fortifié ».

Ainsi, petit à petit se met en place un gouvernement révolutionnaire où les excès côtoient les élans les plus spectaculaires.

On fabrique « le pain de l’égalité » !

On affiche des panneaux :

« Affameur du peuple, traitre à la patrie ! »

Ou

« On rougit ici d’être riche »

On proclame :

« qu’il faut placer partout le glaive à côté de l’abus »

***

La justice révolutionnaire s’impose abusive. Les procès politiques se succèdent.

Complots de l’étranger, affaire d’agiotage … exacerbent les tensions.

Si des voix s’élèvent contre les excès – et pas n’importe lesquelles – Danton – Les indulgents sont accusés d’entretenir des relations coupables avec les contre-révolutionnaires.

Leur défenseur sont à leur tour discrédités pour avoir réclamé de la clémence pour les indulgents.

Petit à petit se met en place le dénouement tragique.

Les accusations pleuvent !

Saint Just  peut lire dans un silence profond son rapport d’accusation qui déroulait le passé trouble des accusés :

« leurs intrigues avec Mirabeau, leurs tractations secrètes avec la Cour, leurs liaisons avec Dumouriez, leurs compromissions avec les Girondins, leur conduite équivoque à toutes les grandes crises, au 10 août, au 31 mai, leurs efforts pour sauver la famille royale, leur campagne insidieuse pour la clémence et pour la paix, leur opposition sourde à toutes les mesures révolutionnaires, leur complicité avec les fripons, leurs accointances avec des étrangers suspects, leurs attaques perfides contre le gouvernement » p. 562

Et Mathiez de conclure : «  La France révolutionnaire n’aurait pas accepté la Terreur si elle n’avait été convaincue que la victoire était impossible sans la suspension des libertés. Elle se résigna à la dictature de la convention, puis des Comités, dans l’espoir que son sacrifice ne serait pas inutile et elle ne fut pas trompée. » p.578

Et puis, la Révolution – tel Chronos – dévora ses propres enfants.

Les tensions politique, humaines permettent de vivre des moments d’échanges intellectuels parmi les plus rares qu’il soit.

Danton jugé et exécuté (5 avril 1794).

… puis vînt le tour de Robespierre.

« Chaque mot de l’orateur vaut une phare, chaque phrase un discours, tant il renferme de sens et d’énergie dans tout ce qu’il dit » peut écrire le Journal de la Montagne - p.603

9 thermidor.

«  En Robespierre, ils avaient tué, pour un siècle, la République démocratique » termine Mathiez

La réaction Thermidorienne peut alors avoir lieu.

C’est là l’objet d’un autre des livres de Mathiez que vous avez également préfacé (à Florence Gauthier)

Mathiez achève son histoire de la Révolution Française sur ces mots :

p. 617

Voilà très rapidement restituée une impression de lecture.

III – Conclusions - questions

Chère Mme Florence Gauthier,

Merci encore d’avoir bien voulu accepter notre invitation.

Nous avons de nombreuses questions à vous adresser et voilà les premières :

Q 1 – Pouvez-vous nous présenter l’œuvre de Mathiez ?

Q 2 – Nous préciser en quoi son travail le différencie d’autres approches historiographiques françaises (celle de Michelet, Jaures, Lefebvre, Aulard, Furet, Vovel, Soboul … ) ou soviétique ( Kondratieva, Bouchemakine, ) ou autres ( le norvégien Tonnesson) ?

***

Q3 – Vous dirigez un site consacré à la Révolution française : quel est l’actualité de votre travail ?

Q4 - Quelle est l’actualité de votre recherche ? Quelles seront vos prochaines publications ?

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