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ARABIE SAOUDITE : "La situation des Droits de l’Homme" Colloque Académie de Géopolitique de Paris (AGP) - Sénat Paris

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[Photo : Sénat - Tribune du colloque ]

Les Droits de l’Homme en Arabie saoudite.

Palais du Luxembourg (Sénat) 26, rue Vaugirard  -  75006 PARIS

18 septembre 2012

LAcadémie de Géopolitique de Paris, dans le cadre des grandes questions géopolitiques du monde d’aujourd’hui, a organisé le 18 septembre 2012 son colloque international annuel sur Les Droits de l’Homme en Arabie saoudite. L’événement a eu lieu au Palais de Luxembourg à Paris, avec interventions par des chercheurs, experts et spécialistes de la région en question et venus spécialement de plusieurs continents.

L’Académie s’est ainsi proposé d’aborder les différents aspects de la situation des Droits de l’Homme en Arabie saoudite, au moment même où des controverses éclatent à ce sujet.

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Le colloque a été inauguré par Monsieur Ali RASTBEEN, Président de l’Académie et expert reconnu dans les affaires du Moyen-Orient, qui est alors intervenu en premier au début de la première séance, pour rappeler les traits essentiels de la géographie de l’Arabie saoudite et aborder les concepts qui prévalent dans la définition des droits de l’Homme : le président insiste sur le fait que dès le VIIe siècle le Prophète de l’Islam a appliqué ces principes à Médine. La conception des droits de l’homme et du respect de la femme telle qu’énoncée par l’Islam est totalement compatible avec la déclaration de 1948 de l’Organisation des Nations Unies. Les droits de l’homme devraient donc être respectés dans tous les pays d’Islam sans exception. Le moins qu’on puisse dire est que l’Arabie saoudite n’applique pas la Charte de 1948 et cela dans un silence mondial complice. La France pour sa part reste très attentive à la manière dont les évolutions se font en Arabie saoudite dans le domaine du respect de la déclaration de 1948.

Ali Rastbeen, fondateur et président de l’Académie de géopolitique de Paris rappelle qu’après l’envoi de troupes par Riyad pour soutenir la répression populaire au Bahreïn, un territoire qui abrite une base navale américaine, l’ONU reste silencieuse, une nouvelle phase est en train de se développer dans les sultanats de la région, indique l’orateur. Riyad tente, sous couvert de l’unité, de mettre un terme à l’indépendance du Bahreïn.

Aujourd’hui, alors que les évolutions internes du système saoudien ont ébranlé les fondements du régime tribal, l’idée de l’union des Etats du littoral méridional du Golfe persique est à nouveau lancée pour préserver le régime.

On peut supposer que derrière cette tentative se cache le complot de fusionner les petits émirats dans l’Etat saoudien grâce au soutien des puissances étrangères à la région. Ce projet sera à l’origine d’un avenir obscur pour la région. Et le président de l’Académie de géostratégique de Paris de relever qu’il est surprenant que les Etats, les milieux internationaux et même les organes de l’Organisation des Nations unies ferment les yeux sur l’existence, dans le monde contemporain, d’un régime fondé sur des principes tribaux. Pour signaler ensuite que le versement de pots-de-vin constitue un des instruments de la politique étrangère du régime saoudien, grâce à la manne pétrolière. La violation des droits de l’homme est généralisée, dans le silence de la communauté internationale. L’Arabie Saoudite tente d’acheter, grâce à des avantages accordés aux pays occidentaux et aux Etats-Unis, le silence de ces derniers même si, de temps en temps, ils publient des rapports sur la situation des droits de l’homme dans ce pays.

M. Rastbeen rappelle que le wahhabisme – qui a pris naissance en 1745 dans la région du Nejd – a commencé comme un mouvement unificateur et a joué un rôle considérable dans l’évolution de la géographie politique de l’Arabie Saoudite.

L’alliance entre le wahhabisme et l’identité ethnique saoudienne a permis l’extension de la puissance politique et religieuse de ses alliés, au-delà des tribus et des dynasties, sur l’ensemble de la péninsule arabique et leur domination sur d’autres régions et tribus. Aujourd’hui, l’influence du wahhabisme, en raison de son rôle historique et vital, dépasse celle, officielle, d’une institution

religieuse. Depuis la création du régime saoudien, le wahhabisme a formé sa culture, son enseignement et son système juridique et imprimé son empreinte sur l’ensemble des tendances islamistes sunnites de l’Arabie Saoudite.

Dans l’Arabie actuelle, les muftis wahhabites jouent un rôle essentiel dans les affaires politiques du pays et les ministres de la Justice, du Pèlerinage, des Principes islamiques, des Legs, de la Propagande et de l’Orientation sont nommés sur leur conseil.

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Ensuite la déclaration de Monsieur Michel FOURNIER, Responsable auprès Amnesty International de la région du Moyen Orient, a été lue intégralement à la tribune parMonsieur Mohamed TROUDI, chercheur auprès l’Académie. Monsieur FOURNIER condamnerait sans appel l’Arabie saoudite pour la multiplicité de ses manquements au respect des droits de l’Homme et dénonce le caractère totalitaire et religieux du régime. Le wahhabisme est tenu pour responsable des persécutions dont sont victimes les chiites, les discriminations à l’égard des femmes sont également pointées du doigt par monsieur FOURNIER.

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À son tour le Recteur Gérard-François DUMONT, professeur à l’Université de la Sorbonne, se livre pour sa part, après quelques précautions mineures concernant le terme de « droits de l’homme », à une comparaison entre l’Arabie saoudite et quelques pays voisins (Iran et Irak) ainsi que la Tunisie. Le sort des femmes dans ces territoires est plus particulièrement passé en revue. Par ailleurs une mine considérable de statistiques permet d’arriver à plusieurs conclusions, et montre que la situation des femmes en Arabie saoudite n’est pas si mauvaise qu’on pourrait le penser même si l’obésité (44% des femmes) est génératrice d’une forte morbidité. De même, peu de saoudiennes travaillent – leur droit au travail est plus contenu qu’ailleurs, car 85% des salariés sont des hommes.

Enfin, selon « la loi fondamentale » saoudienne qui a jeté en basées du royaume, en l’absence de constitution nationale véritable et de droit de vote, l’accès des femmes à la politique n’est pas une réalité jusqu’alors. En fait les raisons explicatives de la situation des femmes en Arabie procède surtout du fait que la Charria est placée au-dessus de toutes les Chartes et conventions. Le religieux a envahi le domaine de la société civile. Plus globalement, la Charte arabe de droits de l’homme contient un trop grand nombre d’ambiguïtés.

Une seule question : que désirent les autorités saoudiennes ? Avancer ou non dans le sens du droit et de la liberté ? La réponse n’est pas évidente.

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L’intervention suivante, celle de la Princesse Basmah Bint SAOUD bin ABDULAZIZ, avec sa démarche intellectuelle humaniste, dresse un plaidoyer pour que les droits de l’individu soient respectés dans le monde arabe. Elle déclare désirer l’établissement d’une Déclaration arabe des droits de l’homme qui reprendrait la Charte arabe des droits humains, la Charte de l’ONU, la Déclaration universelle des droits de l’homme, la Convention internationale sur les droits de l’homme et la Déclaration du Caire des droits humains dans l’Islam.

La Princesse dénonce toute une série d’atteintes à la dignité humaine ainsi que toutes sortes de discriminations dont les femmes en particulier sont victimes en Arabie saoudite comme dans les pays de la région.

Faut-il pour autant adopter des textes fabriqués en dehors de l’espace culturel concerné ? Faut-il continuer à s’exprimer dans des conférences internationales sans que cela ait quelque conséquence que ce soit ? Noircir du papier et répéter inlassablement les mêmes faits ne servent pas à grand-chose.

Il n’empêche que la Déclaration égyptienne, la Déclaration arabe des droits lui semblent un bon tremplin pour progresser au Proche et Moyen Orients vers une société plus juste, plus démocratique, plus humaine. Pour ce faire, une écoute sinon une participation des jeunes lui paraît indispensable. De même, les nouvelles technologies de l’information et de la communication ne peuvent que pousser à un processus de prise de conscience de l’ardente obligation qu’ont les pays du monde arabo-musulman de mettre en place toutes les conditions et structures pour que se concrétisent l’existence et le respect des droits universels de l’homme – c’est une exigence de dignité et de justice.

Pour la Princesse, la première chose à viser c’est l’établissement d’une constitution.

Il y a ensuite eu des questions et propos dans toute la salle, suivis par la projection d’une vidéo d’extraits d’actualités courantes en Arabie saoudite qui a su émouvoir toute l’assistance.

- Fin de la 1ère Séance de la Conférence -

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Madame Safa BEN SAAD, Enseignante au Centre de droit comparé de l’Université TOULOUSE-I Capitole, a débuté la deuxième séance – celle de l’après-midi, du colloque, en nous expliquant qu’il est nécessaire qu’une loi permette à des personnes de s’opposer à l’Etat. La « loi fondamentale » du royaume à ce niveau est une avancée malgré ses limites et ce depuis 1992. C’est l’acte fondateur d’une nation. On y trouve certaines formulations de garantie de certains droits.

Madame Safa BEN SAAD estime qu’il y a islamisation des droits de l’homme, ce qui suppose que l’Islam est un système cohérent qui a réponse à tout. C’est ainsi par exemple, que la complémentarité homme-femme remplace le principe d’égalité. De fait c’est un bricolage avec la confusion entre droit divin et droit constitutionnel – même si le texte n’est pas sacré.

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Après ces brefs propos,  Professeur Hall Gardner, Directeur du département de Politique Internationale à l'Université Américaine de Paris maintient que les relations entre les Etats-Unis et l’Arabie Saoudite sont très complexes, particulièrement l'intérêt porté au pétrole, à la finance et à la géostratégie. À l'inverse ce sont essentiellement les questions du terrorisme, du droit des femmes et des droits de l’homme qui posent problème. L'Arabie Saoudite entretient-t-elle le terrorisme, comme l'en accusent certains Sénateurs Américains?

De nombreuses organisations non-gouvernementales (ONG) américaines luttent pour implanter la démocratie. Pourtant, les efforts pour démocratiser le Moyen-Orient ont tendance à renforcer les partis religieux islamiques, plutôt que de renforcer les parties plus «laïque» ou les parties non religieusement orientées ce que les Américains avaient d'abord espérés. Ce fait a, au moins en partie, contrarié les espoirs du président Obama après son discours du Caire en vue d’une réconciliation avec les peuples de la région. Les Saoudiens semblent soutenir un nombre de ces reformes à l’étranger, alors qu’ils peinent à modifier leur propre structure.

Le terme de «printemps arabe» est inadapté car il ya beaucoup d'autres mouvements sociaux et politiques exigeant plus de droits à travers tout le Moyen-Orient, y compris les Kurdes et les Berbères, ainsi que les mouvements au sein de l'Iran et de l’Israël en quête de réformes. En outre, les mouvements arabes sont eux-mêmes divisés entre «laïques» et non-religieux, sunnites et chiites. Les mouvements sunnites sont à leur tour divisés entre la confrérie musulmane, les wahhabites, les salafistes, ainsi que d’autres. Ces mêmes mouvements sont également sous-divisés entre eux. En général, les Saoudiens soutiennent les tendances wahhabites.

Les demandes de droits de l'homme ont été manipulées par les intérêts de l'État. Par exemple, l'Iran parle de violations des droits de l'homme de la minorité chiite dans la province orientale de l'Arabie Saoudite, riche en pétrole, tandis que l'Arabie Saoudite parle de violation des droits de l'homme des minorités arabes en Iran dans la province iranienne du Khouzistan, également riche en pétrole.

Mais le plus important serait de comprendre que le débat sur les Droits de l'homme se fait à l'intérieur du camp occidental tout comme à l'intérieur du monde musulman. Une opposition simpliste Islam-Occident du style "choc des civilisations" ne serait pas juste. À cet égard, le débat entre l'Arabie saoudite et le Pakistan au cours de la Déclaration universelle des Droits de l'homme de 1948 est très important. A cette époque, le Pakistan a accepté la Déclaration universelle des Droits de l'homme, mais l'Arabie saoudite s’est abstenue. Cela a révélé les divisions profondes au sein du monde islamique sur la question des droits de l'homme. En même temps, la plupart des Etats islamiques, y compris l'Arabie saoudite, ont voulu que la Déclaration universelle des Droits de l'homme exprime de manière plus explicite la sauvegarde des droits économiques, sociaux et culturels. Les États-Unis ont refusé cette demande, malgré que le président Roosevelt pendant son mandat ait fait des «droits économiques» une priorité en tant que « liberté fondamentale ».

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Monsieur Pierre RIGOULOT, directeur de l’Institut d’histoire des sciences sociales, a présenté son apport au colloque, en constatant le défenseur des droits de l’homme, doit-il dénoncer les violations des droits de l’homme, indifférent aux effets de son discours ou doit-il, soucieux de faire progresser la sort fait aux droits de l’homme, tenir compte de la conjoncture politique, de la nature des hommes au pouvoir et faire preuve de diplomatie, de retenue et de prudence, quitte à paraître manquer de fermeté, quitte à risque l’accusation de complaisance ? Douloureux dilemme auquel il est tout particulièrement confronté dans le cas de l’Arabie saoudite.

Il est évident que l’Arabie saoudite transgresse un certain nombre de normes induites par les droits de l’homme. La liberté de croyance religieuse n’est pas respectée : la pratique de toute autre religion que l’Islam y est interdite. L’égalité de droits entre hommes et femmes n’est pas reconnue. Ainsi, les femmes ont besoin de l’autorisation d’un tuteur pour pouvoir se marier, voyager, exercer une profession salariée, suivre des études supérieures.

Le rang de l’Arabie saoudite donné par le Rapport mondial sur l’inégalité entre les sexes, est édifiant : le pays occupe la 131 e position sur 135.

La liberté d’expression et d’information n’est pas reconnue. Fonder une association de défense des droits de l’homme est une entreprise à risque

Le nombre d’exécutions capitales est très élevé : 102 en 2008, 67 en 2009, 27 en 2010, mais 82 en 2011, selon Amnesty international. Ramené aux nombres d’habitants, c’est en Arabie saoudite que ces exécutions sont les plus nombreuses.

Mais le pouvoir saoudien peut-il entendre ses critiques ? Il ne faut pas oublier que l’Arabie saoudite s’est opposée à l’adoption de la déclaration universelle des droits de l’homme en décembre 1948.

Dès lors, comment s’y prendre ?

La dénonciation des organisations de défense des droits de l’homme sont souvent trop acerbes. Leurs arguments ne tiennent pas compte du danger qu’il y a à fragiliser cet Etat. La réflexion célèbre de Montesquieu selon laquelle c’est quand elle se réforme qu’une société autoritaire risque le plus de s’effondrer ne s’applique-t-elle pas parfaitement à ce pays ? Et quels effets auraient l’effondrement de cet allié des Occidentaux au plan stratégique, fournisseur d’une part non négligeable de l’énergie de la plupart des Etats démocratiques – donc des démocraties et des régimes qui défendent grosso modo les droits de l’homme  ?

Les aspirations au changement dans la société saoudienne, comme le prouvent des manifestations, des pétitions, et même une réceptivité limitée mais réelle du pouvoir, sont encourageants ; mais il faut savoir que la laïcité est une notion inconcevable en Arabie saoudite et qu’il faut être réaliste, et ne pas viser trop haut ni vouloir changer le pays trop vite.

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Monsieur Ali ALYAMI, directeur du Centre pour la démocratie et les droits de l’Homme en Arabie saoudite établi aux Etats-Unis, vient ensuite insister sur le fait que l’Arabie saoudite en tant que pays des lieux saints et très grand producteur de pétrole occupe une place tout à fait privilégiée au sein du monde arabo-musulman. Pour lui, l’effondrement du pays procédera du fait que le wahhabisme (qui en fait représente un danger pour le monde musulman) isole de plus en plus l’Arabie saoudite. De plus l’esprit de modernité et les aspirations à plus de liberté de la part des élites saoudiennes viendront renforcer encore son effondrement.

La dynastie saoudienne qui tenait les religieux est aujourd’hui plus faible devant eux.

Alors l’Arabie sera-t-elle détruite, comme Carthage fut détruite par les Romains, ou par pourrissement intérieur ? L’avenir se décide.

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Mr. Ali AL-AHMED, Président de l’institut des affaires du Golfe, créé à Washington, et ancien membre de la Commission des Etats-Unis sur les droits religieux internationaux constate dans le sens de la dénonciation des manquements aux droits de l’homme en Arabie saoudite, et ce dans les domaines religieux, politique et social, avec la position inférieure réservée aux femmes. La liberté de la presse est selon ce conférencier, plus particulièrement menacée.

Enfin une revue systématique des malheurs des minorités religieuses est faite. Le système éducatif est dénoncé comme responsable de la haine sociale. Pour Monsieur AL-AHMED, l’oppression religieuse est un terreau favorable pour la propagation du terrorisme.

Par ailleurs, corruption, pauvreté, misère des enfants seraient monnaie courante, alors que le niveau de vie du pays diminuerait. Cela pourrait alors expliquer une chute imminente du régime, car les choses ne s’y arrangent pas, loin de là.

***

Il revint enfin au Professeur Jacques BARRAT, professeur émérite à l’Université Paris-II Panthéon, de tirer les conclusions de ce très important et très actuel colloque international et en faire la synthèse, en reprenant l’ensemble des interventions faisant précisément avec de nombreuses données chiffrées le constat des très conséquentes et multiples atteintes aux droits de l’homme en Arabie saoudite, pays pourtant protégé de manière privilégiée par les pays occidentaux et par-devant l’ONU. La matière à réflexion devra, selon lui, à l’avenir porter sur la cohérence des démocraties vis-à-vis de leur action internationale à destination des monarchies du Golfe et de l’Arabie saoudite en particulier.

S’en suivit un riche débat entre la salle et Professeur GARDNER, Monsieur ALYAMI et Monsieur AL-AHMED.

Monsieur le président Ali RASTBEEN a ensuite prononcé la clôture de la conférence.

À cette occasion, un ouvrage consacré au thème des droits de l’homme en Arabie saoudite, et contenant la substance des interventions, a été édité et publié par l’Académie de géopolitique de Paris.

SOURCE Académie Géopolitique de Paris :

http://www.academiegeopolitique.com/

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