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« LA FRANC-MAÇONNERIE DANS LE MIDI » par Jean SAGNES.

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[Cet article a été publié dans le catalogue de l'exposition]

Bien que les premières loges soient apparues en Écosse au XVIIe siècle, on fait généralement commencer l’histoire de la maçonnerie à la création de la Grande Loge de Londres en 1717 chez les partisans de Jacques Stuart (jacobites) après l’échec de la tentative de placer celui-ci sur le trône d’Angleterre. La franc-maçonnerie apparaît en France en 1725 d’abord parmi les jacobites exilés, protégés de la royauté française, puis dans la haute aristocratie française. De 1728 à 1738, les grands maîtres sont tous des Britanniques. Les maçons s’inspirent des prescriptions du pasteur James Anderson qui, entre 1723 et 1738, met au point les « constitutions » définissant les devoirs du maçon : obéir à la loi morale, croire en Dieu, adhérer à une religion naturelle, thème courant de la philosophie des lumières, « n’importe les appellations, religions ou croyances qui les distinguent ». À cette idée de tolérance religieuse, peu en rapport avec la position de l’Église catholique, la franc-maçonnerie ajoute, dès ses débuts, une dimension démocratique, et donc subversive dans une société d’ordres, puisque elle accepte aussi bien des nobles que des prêtres ou des roturiers. De ce double point de vue, et aussi à cause de ses rites initiatiques, les loges apparaissent comme potentiellement dangereuses pour le pouvoir royal et pour l’Église catholique d’où les premières interdictions prises en 1737 par le cardinal Fleury, principal ministre de Louis XV, et l’excommunication des francs-maçons prononcée par le pape Clément XII en 1738 et confirmé en 1751 par Benoît XIV.

Mais les francs-maçons français disposent de puissants soutiens. D’une part le Parlement refuse d’enregistrer les bulles papales qui deviennent donc inopérantes du fait des privilèges de l’Église gallicane. D’autre part, les francs-maçons, déjà bien influents dans la haute aristocratie, se mettent sous la protection de personnages proches du roi. À partir de 1740, tous les grands maîtres de la Grande Loge Nationale de France font partie de l’entourage royal: le duc d’Antin (1740-1743), Louis de Bourbon-Condé (1743-1771) et, à partir de 1771 le duc de Chartres, futur Philippe-Égalité. Cette recherche de l’appui du pouvoir en place sera désormais une caractéristique de l’histoire de la maçonnerie française.

Des loges par affinités sociales

Dans le Midi, la première loge naît à Montpellier dans les années 1740 à l’initiative de deux aristocrates, Bonnier de la Mosson et Guenet, ce dernier ayant été reçu en loge à Paris en 1735. Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, les loges se multiplient dans la région : à Perpignan en 1744, à Agde en 1748, à Nîmes en 1756, à Béziers en 1770, à Narbonne en 1779, à Sète et à Saint-Chinian en 1781 etc. Dans les grandes villes, il y a souvent plusieurs loges : dix à Montpellier à la veille de la Révolution, quinze à Nîmes, neuf à Perpignan. En général, après un temps plus ou moins long, ces loges s’affilient au Grand Orient de France, nouveau nom depuis 1773 de la Grande Loge Nationale de France.

Il est clair que la maçonnerie aspire à tisser des liens avec les milieux influents de la société de son époque. Il faut souligner aussi la spécialisation sociale des loges : loges aristocratiques, loges bourgeoises, loges de manufacturiers comme à Saint-Chinian, loges maritimes comme à Agde ou à Sète avec des capitaines de navire et des négociants, loges militaires comme celle que crée en 1787 à Perpignan l’adjudant Masséna, le futur maréchal de France. Mais le recrutement pluriel demeure la règle. À Carcassonne, en 1743, une loge compte 29 nobles sur 48 membres. À Nîmes, sur quinze loges, seules deux ont un recrutement mono-confessionnel (une catholique, une protestante), les autres mêlant les deux confessions. Notons que les loges sont interdites aux femmes et aux juifs. On note déjà de nombreux non-résidents par exemple dans les loges maritimes. Surtout, ce qui étonne, c’est  la présence de nombreux prêtres catholiques malgré les condamnations de la papauté.

Au XVIIIe siècle, les loges maçonniques sont quasiment le seul lieu de débat toléré par la monarchie, ce qui explique en grande partie leur succès. Les réactions de l’Église sont faibles. En 1781, toutefois, l’évêque de Perpignan lance une excommunication contre les maçons de son diocèse, ce qui anéantit pour quelque temps les loges de la ville.

La Révolution de 1789 interrompt peu à peu les travaux des loges parce que certains de ses membres émigrent mais surtout parce que ses membres les plus actifs s’investissent dans les clubs et les assemblés révolutionnaires. Les historiens discutent encore pour savoir si oui ou non les loges sont à l’origine de la Révolution. Ce qui est sûr, c’est que beaucoup de francs-maçons se retrouvent dans le personnel révolutionnaire (dans l’Hérault, au moins huit députés aux assemblées révolutionnaires, sur un total de trente-quatre, sont francs-maçons), que les insignes maçonniques sont présents dans la symbolique républicaine, que les idées des Lumières (progrès, fraternité, tolérance, bienfaisance) qui triomphent alors ont été véhiculées par les loges et que le mode de fonctionnement des loges a préparé le rapprochement des personnes occupant une certaine place dans la société de l’époque  c’est-à-dire excluant le petit peuple des villes et des campagnes ce qui est une caractéristique du personnel révolutionnaire.

À l’ombre du pouvoir de Napoléon 1er puis de Napoléon III

Une fois la Révolution « stabilisée » après le 18 Brumaire, les loges rallument leurs feux dans le Midi comme partout en France d’autant plus facilement que nombreux sont les francs-maçons devenus personnages influents du Consulat puis de l’Empire à l’exemple du Montpelliérain Cambacérès et de la famille de Napoléon dont le père et les frères étaient francs-maçons. C’est pourquoi les loges vont se développer à l’ombre du pouvoir : Joseph Bonaparte est le Grand Maître du Grand Orient. La maçonnerie ainsi favorisée connaît un important essor. En son sein,  dominent toujours  les idées des Lumières. Contrôlée  par le pouvoir, elle est malgré tout un des rares endroits où les discussions sont libres.

La connivence avec le  pouvoir impérial a son revers à la chute de l’Empire. À Agde par exemple, où à  la génération de 1789 se sont ajoutés de nouveaux venus, le commissaire de police appose les scellés au siège de la loge dès décembre 1815. À nouveau les loges se mettent en sommeil mais peu à peu elles réapparaissent. En 1825, au moins six loges sont actives dans l’Hérault : trois à Montpellier, deux à Sète, une à Bédarieux. Mais c’est surtout après la révolution de juillet 1830 que la franc-maçonnerie du Midi se reconstitue. À Béziers, où les Amis choisis sont attestés en  1839, le maire Octavien Vidal fait ostensiblement précéder sa signature sur les documents officiels des trois points encadrés de deux traits et dans cette ville les francs-maçons disposent alors de trois loges.

En un demi-siècle, la franc-maçonnerie du Midi a beaucoup évolué, la sociologie est différente de celle d’ avant 1789 : les aristocrates sont beaucoup moins nombreux et les prêtres ont disparu. Si la bourgeoisie libérale et commerçante tient le haut du pavé, les loges s’ouvrent davantage aux artisans et aux classes moyennes avec qui pénètrent les idées républicaines. Aussi les loges accueillent-elles favorablement la révolution de 1848 sans cesser d’être des lieux de discussion et de confrontation. Il s’agit d’une maçonnerie « bourgeoise » soucieuse d’ordre qui, en juin 1848, est favorable à la répression de la révolte ouvrière menée par Cavaignac. En mars 1851, la loge des Amis fidèles de Montpellier compte parmi ses membres des représentants des familles bourgeoises aussi connues que Bazille et Cazalis mais  aussi deux Rodez-Bénavent monarchistes.

Au lendemain du 2 décembre, c’est Lucien Murat, fils de l’ancien roi de Naples et cousin du futur Napoléon III, qui devient grand maître du GODF. Comme sous le Premier Empire, les loges ont un régime de liberté  surveillé pas très contraignant cependant puisque les idées républicaines s’y répandent avec celles de l’anticléricalisme. En 1866, l’évêque de Montpellier se montre très inquiet du fait que dans les loges on ose affirmer la liberté de conscience !

Franc-maçonnerie et République

La proclamation de la République le 4 septembre 1870 propulse bientôt aux plus hautes fonctions électives des francs-maçons notoires dans plusieurs villes du Midi. Montpellier, Carcassonne, Béziers, Sète ont bientôt un maire ou un député franc-maçon. Les maçons s’installent pour longtemps comme le noyau du républicanisme du Midi. Alors que les maçons parisiens soutiennent et inspirent la Commune de Paris en mars 1871, ceux du Midi adoptent des positions plus modérées, leurs préférences allant à un compromis entre Paris et Versailles. Attachés à la laïcité, ils accueillent avec satisfaction la décision du Grand Orient de 1877 de supprimer toute allusion à Dieu, le Grand Architecte. Sous la IIIe République, on ne compte plus les parlementaires maçons : le médecin Perreal puis le professeur Lafferre à Béziers, l’avocat Salis à Sète, l’avocat Pams à Perpignan, le médecin Ferroul à Narbonne. Les loges sont à l’avant-garde du combat pour la laïcité puis pour la séparation de l’Église et de l’État.

Peu à peu se constitue une osmose entre franc-maçonnerie et parti républicain, particulièrement forte dans le Midi jusqu’à ce que, le 21 juin 1901, est créé au plan national, et à l’initiative des loges, le parti radical. Déjà, en 1898, dans un discours de distribution des prix à Béziers, Antonin Moulin, père de Jean, a développé le programme politique et social du solidarisme radical qui se confond avec celui des loges.

Si, à nouveau, la guerre de 1914 à 1918 ralentit les activités des loges, l’entre-deux-guerres voit se distendre les liens entre radicalisme et maçonnerie avec l’entrée de socialistes dans les loges. La composition sociologique des loges du Midi évolue vers une prédominance de fonctionnaires et de cadres de l’administration centrale et municipale.

Aujourd’hui, une forte expansion

Dissoute en 1940 par le gouvernement Pétain, la maçonnerie se reconstitue à partir de 1945 mais c’est dans la décennie 1950 que s’amorce une vigoureuse croissance qui se poursuit aujourd’hui et touche toutes les obédiences : Grand Orient de France, Droit Humain, Grande Loge de France, Grande Loge Nationale de France, Grande Loge traditionnelle et symbolique Opéra, Grande Loge féminine de Memphis Misraïm, Loge nationale française, Grande loge mixte universelle, Grande loge mixte de France. Si la laïcité est le trait commun le plus marquant entre ces obédiences, chacune a son propre style. En ce début du XXIe siècle, jamais la maçonnerie dans le Midi n’a connu un tel engouement. Sociologiquement, la maçonnerie régionale connaît une nouvelle mutation avec l’arrivée massive des décideurs économiques et politiques : chefs d’entreprise, professions libérales, hauts responsables administratifs. Dans les Pyrénées-Orientales, on compte trente-deux loges avec 1200 frères et sœurs ; à Narbonne 500 initiés ; à Carcassonne un millier ; 1600 à Montpellier dans une cinquantaine de loges ; 650 à Béziers dans quatorze loges ; 600 à Nîmes dans douze loges ;  350 à Sète dans sept loges...

Partout des fraternelles réunissent des initiés des diverses obédiences souvent selon la même appartenance professionnelle. Jamais la maçonnerie n’a occupé un tel espace dans le Midi. On manque d’études précises sur son influence au plan économique, social et politique. Certains prétendent qu’elle est importante notamment dans le domaine économique, d’autres estiment que, dans le domaine politique, elle aurait plutôt tendance à diminuer avec la présence de maçons dans tous les camps. Le perfectionnement individuel et l’engagement dans la société dans une perspective évolutionniste demeurent toujours les objectifs de la franc-maçonnerie mais  tout maçon est libre d’interpréter ces objectifs à sa manière. Quoiqu’il en soit, plus que jamais la maçonnerie du Midi demeure un lieu de convivialité, un lieu de savoir, un lieu de solidarité et un lieu de  pouvoir.

                                                                                              Jean Sagnes

ALEXANDRE MASSOL (1805-1875)

Né à Béziers, Alexandre Massol est un officier du génie devenu saint-simonien qui apparaît comme un théoricien de la franc-maçonnerie. Converti au saint-simonisme d’Enfantin, qui entend promouvoir les ouvriers et les femmes, Massol est, au début des années 1830, « missionnaire » dans les milieux ouvriers lyonnais où il travaille comme forgeron puis membre du groupe des Compagnons de la femme pour lequel il fait son tour de France avant de rejoindre Enfantin en Égypte. Il passe ensuite à Londres où il dirige un journal français avant de collaborer au journal de Proudhon. Franc-maçon du Grand Orient, il devient vénérable de la loge La Renaissance dans les années 1860. Il milite pour une maçonnerie laïque et s’oppose aux pratiques mystiques en usage alors dans cette obédience. Il travaille à séparer la morale de la religion préparant ainsi  la laïcisation du Grand Orient qui intervient deux ans après sa mort, en 1877, avec la suppression de la référence au Grand Architecte de l’Univers.

JEAN-PONS-GUILLAUME VIENNET (1777-1868)

Né à Béziers, fils d’un député aux assemblées révolutionnaires, il est d’abord officier dans l’artillerie de marine et participe aux guerres européennes connaissant la captivité en 1796 et en 1813-1814. Dès cette période, il écrit poésies et pièces de théâtre dans le style classique. Demi-solde en 1815, il se lance en politique parmi les libéraux. Député de l’Hérault en 1828, il joue un rôle important lors des journées de juillet 1830 aidant Louis-Philippe à accéder au pouvoir. Ami du nouveau roi, il devient pair de France en 1838. C’est un adversaire acharnée du romantisme qui n’est pour lui que « galimatias » et entre à l’Académie française en novembre 1830. Membre du Suprême conseil du rite dit écossais depuis 1826, il en est le  Lieutenant général commandeur en 1848 et, en 1860 à 83 ans, il devient Souverain grand commandeur. Son titre de gloire est d’avoir refusé d’intégrer son obédience au Grand Orient comme le souhaitait Napoléon III qui, impressionné par cette résistance, ne signa pas le décret d’intégration.

LOUIS LAFFERRE  (1861-1929)

Né à Pau, professeur à Narbonne dans les années 1880, il est initié à la franc-maçonnerie dans la loge d’Ernest Ferroul, député-maire de Narbonne puis devient conseiller municipal sur la liste socialiste en 1896. Un an plus tard, le ministre de l’Instruction publique le déplace à Privas par mesure disciplinaire. Mais il a gardé des attaches en Biterrois car, en 1892,  il s’est  marié à Colombiers, petit village aux portes de Béziers et, en 1898, il est élu député de l’Hérault soutenu à la fois par des radicaux et par les socialistes guesdistes. Il devient aussitôt un des leaders radicaux de la Chambre des députés tout en étant très actif au sein du Grand Orient dont il gravit tous les échelons. En juin 1899, il est vice-président de la Fédération radicale socialiste qui devient en 1901 le Parti républicain radical et radical-socialiste. En 1902, il est élu  vice-président national du Grand Orient puis, de 1903 à 1905 président national. Il occupe cette fonction lorsque éclate, en octobre 1904, le scandale des fiches et, à ce titre, il subit de très fortes attaques. Député de 1898 à 1919, sénateur de l’Hérault de 1920 à 1924, il est ministre du Travail et de la prévoyance sociale en 1910-1911 et ministre de l’Instruction publique et des beaux-arts de 1917 à 1920.

Jean SAGNES est professeur émérite d'Histoire contemporaine. Ancien Président de l'Université de Perpignan

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"L'Orient est au Sud, la franc-maçonnerie du Midi du 19e au 21e siècle" - Histoire & Patrimoine

[MERCI à LAURENT]

Commentaires

de arthur53
Il parait bien etrange que ce pouvoir qui regroupe, Juges, avocats, politique, commerçants, artisants, medecins, responsables administratif... ect, ne soit pas clienteliste. Pourquoi les affaires de Lilles ou des Alpes Maritimes alors..
Comment accepter d'etre jugé ou defendu par des gens qui font partis des Roses Croix, alors meme que vous ne savez pas si votre adversaire et un des leurs. Pourquoi choisir un hommes de droite, de gauche ou d'ailleurs si ils sont aussi Franc Maçons. L'étiquette ne veut plus rien dire car le pouvoir ira a la Franc Maçonnerie.
Bien des chose sont troublantes, pourquoi accepter cette association sectaire??si ce n'est à des fin de pouvoir absolu. Car si ce n'est pas le cas.. pourquoi ne pas afficher publiquement les listes des noms et fonctions de francs Maçons...pour donner un pouvoir de surveillance, de control et une visibilité reelle sur les choix economiques, politiques, judiciéres et autres à faire...de la lumière enfin.
0 approbation
15 September - 11h13
de JLP
Cher Arthur 53,
Vous reprenez ici une critique classique adressée à la Franc-maçonnerie. D'évidence, certains faits ne peuvent qu'alimenter votre critique. Enfin, votre interrogation sous-tend une réflexion sur la démocratie. C'est une vraie question - celle du secret - qui doit accompagner une réflexion sur la République, l'exercice du pouvoir et la démocratie. Qui peut cependant ignorer l'évidence ? Une partie des avancées républicaines dans notre pays est l'oeuvre de francs-maçons. Évitons les poncifs ou l'agressivité courante sur la question. Mais le débat de fond peut avoir lieu. Il doit avoir lieu. JLPujo
0 approbation
16 September - 09h43

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